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les fanfics d'Aë

Yuleride 4

16 Janvier 2017 , Rédigé par Aësälys Publié dans #Yuleride

Chapitre 4 ~ Trop de chaleur

.

Avant qu’Hermione ne comprenne ce qui arrivait, le Professeur Snape avait capturé ses lèvres des siennes, et l’embrassait. Ses lèvres étaient douces, mais exigeantes, suçant et bougeant ainsi contre sa bouche. Le sorcier avait un talent qu’Hermione ne lui aurait jamais prêté, même dans ses rêves. Son baiser était si différent de celui de Ron.

Ron avait tendance à lui écraser la bouche au début de leur relation, il était toujours si brûlant et prêt à lui sauter dessus. Il préférait attaquer plutôt que de tenter d’amener Hermione à réagir, pensant que son ardeur serait aussi acceptable qu’une vraie passion.

Maintenant qu’ils étaient intimes, dès que Ron l’embrassait, il enfonçait immédiatement sa langue dans sa bouche sans échauffement ni préparation. Ce n’était pas qu’il était inconsidéré, plutôt qu’il était tout le temps en rut. Un peu comme un chien en chaleur.

Ainsi, ce baiser délicat et sensuel était une nouveauté pour Hermione. Aussi laid fut-il, Snape avait de toute évidence de l’expérience en matière de baisers, même si la façon dont il avait pu si bien apprendre cela était un mystère. Qui l’aurait volontairement laissé l’embrasser ?

De toute évidence, il y avait eu quelqu’un de volontaire, et qui l’avait fait. D’après son talent, Hermione n’était pas la première.

Jusque là, Hermione n’avait rien trouvé d’attirant chez le Maître des Potions. Mais avec ses yeux clos et sa bouche bougeant ainsi contre ses lèvres, sa perception changeait rapidement. Et elle n’aurait pas dû.

Non. Non, c’était mal, il la manipulait. Lui offrir le monde et prendre avantage de son inexpérience avec les hommes. Il était un démon la tentant de sa flamme intérieure… un incube bouillonnant sous son extérieur froid. Elle aurait dû savoir que Snape serait ainsi, il était sûr et méticuleux dans tous ses actes.

Apparemment, même lorsqu’il se faisait une sorcière.

Mais Merlin, ses lèvres étaient si bonnes contre sa bouche, et avant aussi, contre sa gorge. Comment cela serait-il de…

Non. Non. C’était le Professeur Snape, un homme qui ne se souciait de personne, qui rejetait les contacts… la proximité avec les autres. Il n’était pas quelqu’un de fréquentable…

Mais Merlin, sa bouche était agréable… si agréable.

Hermione luttait intérieurement, prise entre en vouloir plus et vouloir que cela s’arrête, avant que cela n’aille plus loin. Elle pouvait déjà se sentir répondre avec force. Elle devait reprendre le contrôle. Elle était la femme. La femme contrôlait ces choses. Un simple ‘stop’ ou ‘non’ y mettrait fin.

Pourquoi était-il si dur de dire ‘stop’ ou ‘non’ ?

Bien qu’elle reçoive le meilleur baiser de sa vie, Hermione devait dire quelque chose au sorcier pour interrompre sa possession de ses lèvres. Elle devait dire quelque chose, car c’était bien trop dur de s’écarter.

Hermione tenta de parler contre ses lèvres, mais Snape sentit un changement subtil et parla en premier, la voix douce et riche comme du miel, continuant à l’embrasser entre deux paroles, sans la lâcher, sans lui donner la chance de répondre et tout juste de respirer.

« Vous pensez que je ne devrais pas vous embrasser… »

Baiser.

« Vous pensez que vous ne devriez pas m’autoriser à vous embrasser… »

Baiser.

« Mais vous le faites… »

Baiser.

« Parce que je vous fais ressentir quelque chose… »

Baiser.

« Et vous êtes prête à ressentir quelque chose… N’importe quoi d’autre que l’ordinaire et le familier… »

Baiser.

« Votre cœur s’affole… »

Baiser.

« Vous vous sentez… confuse… déchirée… »

Baiser.

« Mais ce n’est pas de la confusion… et vous n’avez pas encore été déchirée… »

Baiser.

« C’est… de l’exploration… »

Baiser.

« Le premier… »

Baiser.

« De nombreux voyages à venir… »

Baiser.

« Si vous dites que vous vous joindrez à moi… »

Baiser.

« Laissez-moi vous montrer combien la vie… »

Baiser.

« …peut être excitante, nous pouvons être… ensemble… »

Baiser.

« Dites que vous vous joindrez à moi, Hermione Granger… Dites que vous vous joindrez à moi. »

Snape approfondit son baiser, attirant la sorcière contre son corps en glissant sa langue entre ses lèvres, léchant doucement le muscle souple, puis le mêlant au sien. Si Hermione l’arrêtait, se reculant avec dégoût et horreur, elle allait le faire maintenant. Ses paroles avaient un double sens, et si la sorcière ne l’arrêtait pas, il continuerait et la lierait à lui de façon plus physique et plus agréable. Snape n’avait aucun doute sur le fait d’être meilleur amant que Weasley, et s’il pouvait montrer à la sorcière qu’il y avait plus en lui, peut-être pourrait-il la lui arracher.

L’idée de voler Hermione à Ronald Weasley était attirante sur bien des niveaux. Peut-être Weasley voudrait-il même le provoquer en duel avant qu’ils ne partent pour leurs voyages. Quelle merveilleuse opportunité cela serait de cramer son cul rouquin avant de quitter l’Angleterre. Un superbe cadeau de départ.

Hermione s’abandonna au baiser, elle ne pouvait s’en empêcher, alors qu’il l’amenait contre lui, une main étendue sur ses reins, l’autre pressée avec légèreté contre son épaule. Ce n’était pas le câlin écraseur de troll donné par Ron. C’était quelque chose de mieux, quelque chose qui lui disait que Snape était conscient qu’elle était un être humain, une créature vivante, et avait même la présence d’esprit de ne pas essayer de la serrer à mort parce qu’il était en chaleur.

Hermione pouvait sentir la silhouette fine de Snape sous ses robes, chaude et dure comme s’il ne portait rien dessous. Son corps n’avait rien à voir avec le physique de Ron. Snape était d’abord plus petit. Ron faisait plus d’un mètre quatre-vingt et sa musculature était bien dessinée. Le Professeur atteignait juste le mètre quatre-vingt et était fin. Hermione ne pouvait sentir autre chose que de la fermeté. Mais celle-ci, pressée contre elle, faisait monter sa chaleur corporelle.

Ils restèrent là, corps contre corps, bouche contre bouche, s’explorant l’un l’autre, les mains de Snape délicatement pressées contre sa peau, ses doigts effleurant la base de la colonne vertébrale d’Hermione. Oui, elle semblait le vouloir. Snape s’écarta de sa bouche, les yeux plissés pour fixer la sorcière rougie et essoufflée.

« Osez-vous, Hermione ? » lui souffla-t-il.

« Oser ? Oser quoi ? » lui demanda-t-elle, un peu perdue.

« Oser rester la nuit avec moi. Puis vous pourrez me donner votre réponse au matin » dit doucement le sorcier.

Hermione papillonna des yeux, ses yeux perdant de leur éclat rêveur. Snape réalisa immédiatement qu’il s’était trompé. Il aurait dû continuer à l’embrasser et à la séduire ainsi, plutôt que de le lui demander.

Il lui avait offert une porte de sortie et Hermione la prit.

« Non. Non, je ne peux pas. Je dois y réfléchir. Je veux dire, si je vous rejoins, alors vous vous attendez à ce que je couche aussi avec vous ? C’est le prix de ma participation ? » lui demanda-t-elle.

Le virage de Snape rougit violemment et il la relâcha rapidement.

« Bien sûr que non ! » gronda-t-il avec dédain. « Si je n’avais voulu que quelqu’un à sauter durant les étapes, Hermione, j’aurai pu embaucher les talents locaux. Je vous veux parce que vous êtes qualifiée. Je vous veux parce que je sais que vous aimerez cette vie autant que moi. Ce… Ce pourrait n’être qu’un bonus pour nous deux. Si nous étions compatibles, alors aucun de nous n’aurait à subir les occasionnelles solitudes concernant le sexe opposé. Mais ce n’est pas une obligation. Je ne vous approcherai pas à nouveau si c’est ce que vous voulez, et je peux vous en faire un Serment Inviolable. C’était juste que je sentais une réponse en vous… et je l’ai utilisée. J’ai senti… j’ai senti que vous étiez prête à prendre la chance d’explorer le sexe avec quelqu’un d’autre que Weasley. Je vois maintenant que j’avais fait erreur. »

Hermione l’observa un moment. Il semblait en colère et instable. Le coin de sa bouche tremblait alors qu’il lui rendait son regard. Soudainement, il plongea la main dans sa poche et rendit rapidement sa baguette à Hermione.

« Alors, voulez-vous un serment ? Ainsi cela vous assurerait que quelqu’un d’aussi repoussant et indésirable que moi ne vous approchera plus jamais dans ce but » conclut-il à voix basse.

« Ce n’est pas nécessaire » dit-elle rapidement. « Pas maintenant. Vous avez arrêté et ça me suffit. »

Snape l’observa pensivement, retraçant à nouveau ses lèvres du bout d’un doigt.

« Très bien. Mais penserez-vous au moins à mon offre ? » lui demanda-t-il froidement en s’éloignant vers le mur opposé, robes tourbillonnantes, l’ouvrant pour qu’Hermione puisse sortir de son salon.

Hermione sembla hésiter lorsqu’il ouvra, puis s’avança soudainement pour s’arrêter devant le sorcier. Sa bouche était plissée alors qu’il l’observait.

« Oui, je vais y réfléchir. J’ai jusqu’à la fin d’année pour décider, non ? » demanda-t-elle.

« Oui » acquiesça-t-il.

« Je vous ferai savoir ma réponse d’ici là » lui dit Hermione avant de passer la porte. Snape ne suivit pas, restant là, à moitié dans l’ombre, tandis qu’Hermione ouvrait la porte du bureau.

Elle lui rendit son regard.

« Bonne nuit, Severus » lui dit-elle.

« Bonne nuit, Hermione » répondit-il.

Hermione sortit du bureau et Snape enchanta la porte derrière elle. Il revint dans son salon, ferma le mur et revint à son fauteuil. Il resta assis jusqu’à ce que le feu ne contienne plus que des braises, silencieux, pensant sombrement à la seule personne qui pouvait l’aider à échapper à son existence désastreuse.

Hermione n’avait qu’à dire oui.

.

oOo

.

Le lendemain, Hermione revint à l’appartement qu’elle avait gardé à Little Hangleton. Elle le louait à un vieux propriétaire bougon qui lui rappelait Rusard de tempérament comme de physique. Il se nommait Edgar Neydeygnö. Il était mince, avec de longs cheveux blancs et épars, avait de l’arthrite et marchait avec une cane noueuse qu’il agitait, menaçant, vers tous les enfants qui passaient à sa portée. En revanche, Edgar appréciait et faisait confiance à Hermione. Il lui avait donné l’appartement contre un faible loyer quand il avait découvert qu’elle avait été prise comme Professeur à Poudlard.

« Vous aurez sans doute besoin d’un point de repli pour les vacances et week-end. Qu’en est-il de votre prétendant ? Allez-vous toujours le voir chez lui ? » lui demanda le vieil homme.

Ce fut précisément ce qui poussa Hermione à le garder. Ainsi, elle avait un endroit à elle pour loger, sans devoir rester avec Ron. Il vivait toujours au Terrier. Hermione ne pouvait rien imaginer de pire que baiser avec Mr et Mrs Weasley tout à côté. Ron, lui, s’en foutait.

Deux heures seulement après son arrivée, Ron frappa à sa porte. Hermione lui ouvrit, souriante.

« Coucou, Ron » dit-elle au sorcier roux.

« ‘Lut, Hermione » répondit Ron, jovial, déposant un bécot sur ses lèvres avant d’entrer à grands pas comme s’il était chez lui. « Content que tu sois en vacances. Après un mois et demi de célibat, j’aurai rien contre une bonne baise. Je serais dans la chambre. »

Ron disparut dans le couloir et Hermione put l’entendre se déshabiller. Elle soupira.

C’était toujours comme ça. Le sexe était prioritaire, et quand elle s’y dérobait, Ron devenait boudeur et désagréable jusqu’à ce qu’elle cède.

Hermione passa la porte et s’immobilisa. Ron n’avait déjà plus que son boxer. Il était blanc et couvert de gros cœurs rouges.

« Je l’ai pris pour toi » lança-t-il en s’en débarrassant avant de sauter sur le lit, le tapotant pour l’y inviter.

« Entre, le matelas est bien » reprit-il en agrippant son érection et en l’agitant en guise d’invitation.

Hermione secoua légèrement la tête. Ron n’avait aucune notion de romance. Il avait tenté de l’être, longtemps auparavant, mais alors, il courtisait Hermione. Depuis qu’il avait baissé sa culotte, il pensait qu’il n’y avait plus besoin de romance. Il avait atteint son but. Il était ‘arrivé’. Il avait atteint la frontière finale et celle-ci était sienne.

« Ron, pourquoi ne pas parler un peu d’abord » lui dit doucement Hermione.

« Parler ? Oh, non, Hermione… Pourquoi on doit parler maintenant ? » lui demanda-t-il, la voix plaintive. Son érection retomba un peu.

« Parce que je suis fatiguée et lassée que tu débarques ici et que tu t’attendes à ce que j’écarte les cuisses juste parce que tu es là » lâcha-t-elle.

« Tu as été partie longtemps. Les sorciers ont des besoins, tu sais » lui reprocha-t-il.

« Les sorcières aussi, et ce n’est pas que basé sur ta baguette » répliqua-t-elle froidement.

Ron vit son air en colère et décida qu’il serait sage de simplement parler. Peut-être que s’il répondait par monosyllabes, il ne faudrait pas si longtemps. L’idée de Ron de parler était qu’Hermione lui posait plein de questions assez ineptes et qu’il y répondait. Pourquoi les filles voulaient toujours ça alors qu’il fallait baiser ?

« Très bien. Parlons, alors. T’as quoi en tête, Hermione ? » demanda-t-il, se glissant sous les couvertures.

Hermione s’assit au bord du lit.

« Ron, est-ce que tu voudrais un jour parcourir le monde ? » demanda-t-elle.

Ron la regarda, incrédule.

« Parcourir le monde ? Oh… non. Pourquoi je ferais ça quand tout ce que je veux est là ? » répondit-il.

« Les aventures que nous avions ne te manquent pas ? L’excitation et les dangers ? » demanda-t-elle.

Ron l’observa comme si elle était cinglée.

« Non, ça me manque pas ! Je flippais ma race la moitié du temps. Maintenant, j’ai une vie belle et tranquille, et j’aime ça. J’aime mon travail, j’ai des amis et de la famille, et je t’ai. C’est tout ce qu’il faut à un mec pour être heureux, Hermione » lui dit Ron.

Hermione resta silencieuse.

« Qu’en est-il du futur, Ron ? » lui demanda Hermione. « Quels sont tes projets d’avenir ? »

Ron l’étudia.

« C’est à propos du mariage, Hermione ? » lui demanda-t-il, le visage grisâtre.

« Non ! » gronda-t-elle. « Je veux juste savoir.

-Eh bien, je prévois de construire une maison près du Terrier, de me marier et d’avoir des enfants » lista-t-il.

« C’est tout ? » demanda Hermione.

« Ouais, c’est tout. Ca suffit pas ? » demanda-t-il. « C’est ce que mon père a fait et il est parfaitement heureux. Et ma mère aussi. »

Molly cuisinait probablement déjà tourtes et tartes en couches-culottes. Cette femme était une épouse et mère naturelle, depuis sa naissance, Hermione en était sûre. Molly était réellement satisfaite de la vie de femme au foyer. Elle trouvait que s’occuper de sa famille était un défi, quelque chose de valorisant. Hermione ne voyait rien de mal là-dedans, tant que c’était son inclination.

Ce n’était pas la sienne, en revanche. Elle resta silencieuse plusieurs minutes.

Enfin, Ron demanda « On a fini de parler ? »

Hermione lui jeta un œil et soupira face à l’impatience qu’il affichait alors qu’il restait calé contre la tête de lit.

« Ouais, Ron, on a fini de parler » dit-elle, se levant pour commencer à se déshabiller.

Deux minutes plus tard, alors qu’elle était allongée sous Ron, qui haletait et grognait en s’agitant sur son corps, les pensées d’Hermione revinrent vers Snape. Il n’était pas aussi beau ou bien fait que Ron, mais elle était presque certaine qu’il ne lui aurait pas simplement grimpé dessus pour foncer dans le tas comme si elle n’avait elle-même aucun sentiment ni désir.

Soudainement, Ron beugla « Ouiouiouiouiouiouioui ! » et Hermione le sentit éjaculer, gémir son plaisir, puis rouler sur le dos, le souffle court et le sourire repu.

« Merci, Hermione » dit-il à la jeune femme, tapotant sa main alors qu’elle restait allongée, le dos raide.

« Je t’en prie, Ron » répondit-elle, la voix tout aussi tendue.

Ron ne remarqua rien tandis que ses yeux se fermaient. Bientôt, il commença à ronfler.

Hermione fixait Ron, son corps long et attirant, son membre amolli et ses cheveux roux ébouriffés. Il était adorable lorsqu’il dormait. Mais était-ce suffisant ?

« Est-ce que j’ai vraiment envie d’une vie de ça ? » se demanda Hermione, roulant hors du lit et se dirigeant vers la douche.

Elle devait cuisiner quelque chose. Quand Ron se lèverait, il voudrait manger.

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oOoOoOo

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Note de Ms Figg : Ah, un petit aperçu de la vie d’Hermione et un peu de ce que c’est que d’être avec Ron. Merci d’avoir lu.

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Note de Cricri : vivement la suite... là je hais Ron...

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Note de OceeSnape : Bon bah Ron, aussi décevant que ce que j’imaginais

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Son baiser était si différent de celui de Ron. (Elle commence la comparaison... ADIEU Ron...)

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La femme contrôlait ces choses. Un simple ‘stop’ ou ‘non’ y mettrait fin. (parce que dans le fond, tu sais que tu n’en a pas envie Hermione)

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Quelle merveilleuse opportunité cela serait de cramer son cul rouquin avant de quitter l’Angleterre. Un superbe cadeau de départ. (D’autant plus que Ron n’aurait aucune chance :D)

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Snape réalisa immédiatement qu’il s’était trompé. Il aurait dû continuer à l’embrasser et à la séduire ainsi, plutôt que de le lui demander. (Oops, Game Over, Try Again)

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« Content que tu sois en vacances. Après un mois et demi de célibat, j’aurai rien contre une bonne baise. Je serais dans la chambre. » (oh punaise!!! Toujours aussi délicat ce mec.... quand je pense qu'elle aurait pu avoir vous savez qui.... pffff) (SERIEUSEMENT ? ET ELLE EST TOUJOURS AVEC CE… MALOTRU ?! Hermione… je croyais que tu étais vantée pour ton cerveau.)

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Hermione passa la porte et s’immobilisa. Ron n’avait déjà plus que son boxer. Il était blanc et couvert de gros cœurs rouges. (OMG, les images xD)

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« Entre, le matelas est bien » reprit-il en agrippant son érection et en l’agitant en guise d’invitation. (Un prétendant me fait ça, je le fais dégager illico presto ‘-‘)

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« Tu as été partie longtemps. Les sorciers ont des besoins, tu sais » lui reprocha-t-il. (Si ce n’est que ça, je suis sûre qu’il trouverait son bonheur sur le trottoir..)

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« C’est ce que mon père a fait et il est parfaitement heureux. Et ma mère aussi. » (Mais tu n’es pas tes parents... Enfin, tu ne devrais pas calquer ta vie sur la leur)

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Deux minutes plus tard, (franchement... ça valait le coup!!)

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Il était adorable lorsqu’il dormait. Mais était-ce suffisant ? (NOOOPE)

 

Yuleride 4
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H
Et bien, Ron est assez pas romantique du tout. Comment peut-on imaginer vivre une vie avec lui quand on s'appelle Hermione ? Snape aura-t-il un cadeau de nouvelle année avec sa réponse positive ?
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C
Je pense pas qu'elle va réfléchir longtemps... Merci Aë!
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A
Et pourtant!
M
Haaa mais elle est pas censer etre intelligente celle la !!!! Entre Severus Snape ( Snape quand meme ) et ce truc qui se fait appeler ron!!!! Merci !!!!
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A
je t'en prie ^^
B
"Qui l’aurait volontairement laissé l’embrasser ?"<br /> Cher administrateur d'Overblog, pourriez-vous transmettre la liste des abonnées à Mr Snape, Severus Snape, Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry, Scotland ?
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A
ton deuxième message apparaît vide ^^'
B
A
je t'aime pour ce commentaire. Dis moi qu'on est amies sur FB stp ^^'
Z
Mais comment Hermione peut-elle hésiter entre les deux ? Merci pour ce nouveau chapitre !
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A
XD<br /> à très vite!