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les fanfics d'Aë

Un été à York 13

8 Octobre 2014 , Rédigé par Aësälys Publié dans #cabepfir, #Un été à York (C)

Chapitre 13 – Sur la roue

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I fell into a burning ring of fire
I went down, down, down
And the flames went higher
And it burns, burns, burns
The ring of fire
The ring of fire
~ Johnny Cash, The Ring of Fire

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Je tombe dans un anneau de flammes brûlantes

Je tombe de plus en plus bas

Et les flammes s’élèvent

Et ça brûle, brûle, brûle

L’anneau de flammes

L’anneau de Flammes

~ Johnny Cash, L’anneau de flammes

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Avec le pied droit déjà sur la première marche de l’escalier, Hermione se retourna et jeta un nouveau regard sur les deux hommes absorbés dans leur partie de Bavboules. Eustace emplissait une pipe de tabac, et demandait à Snape s’il voulait une cigarette. Severus répondit « Vous voulez vraiment que je recommence à fumer, n’est-ce pas ? »

Son regard se fixa sur le dos de Snape. Portant du noir, entouré par tout ce blanc immaculé, il semblait plus petit et plus frêle que d’habitude.

Mrs Boddington dût remarquer l’inquiétude de son expression, car elle se pencha vers Hermione pour lui glisser doucement à l’oreille « Ne vous inquiétez pas, ma chère. Les boules sont enchantées de manière permanente pour répondre au contact de Severus. C’est en fait un des derniers sorts jeté par Eustace. »

Brutalement sortie de sa rêverie, Hermione ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose, puis la referma et continua à monter les marches, plongées dans ses pensées.

Ce ne fut que lorsque les deux femmes arrivèrent dans la chambre –blanche et aussi fraîchement parfumée que le reste de la maison- qu’Hermione se décida à parler.

« Pardonnez-moi si je suis trop curieuse, Adele » formula-t-elle lentement, « mais il y a quelque chose que j’aimerai vous demander. Depuis que je suis entrée chez vous, je ne perçois pas de magie. Les photos sur votre mur sont moldues, elles ne bougent pas. Vous n’avez pas de sécurités magiques, ni de charmes, ni d’objets magiques, rien. La magie produite pour les Bavboules est presque imperceptible, sauf quand elles crachent. Pour faire court, un Moldu pourrait entrer ici sans découvrir que c’est une maison habitée par des sorciers.

-Uh-uhm » acquiesça Adele. « Oui, c’est vrai. Nous avons décidé de vivre comme des Moldus, après la guerre.

-Mais pourquoi ? » cria presque Hermione, malgré elle-même. « Pourquoi ?

-Je suppose que c’est difficile pour vous, en tant qu’héroïne du monde sorcier, de comprendre notre choix » répondit doucement Adele. « Mmh. Comment pourrais-je vous l’expliquer ? »

Son aînée s’assit au bord du lit, et Hermione s’assit près d’elle. « Voyons voir : nous avons été témoins des horreurs que la magie peut faire, et nous ne voulions plus en faire partie. C’est comme votre végétarisme.

-La magie n’est pas si mauvaise. » Hermione tremblait en disant cela.

« Pas plus que la viande. Les animaux mangent d’autres animaux : c’est la loi de la nature. Mais vous avez décidé en votre âme et conscience de ne plus en manger. Je comprends les raisons qui vous ont poussée à choisir le végétarisme, mais vous ne pouvez qu’avouer qu’un bon steak juteux est tentant. Nous savons que la magie peut faire du bien, mais elle peut également blesser. Nous, Eustace et Moi, nous abstenons volontairement d’utiliser la magie, comme vous vous abstenez de manger de la viande.

Adele s’interrompit pendant qu’Hermione réfléchissait. Puis elle reprit « Bien sûr, voir les admirables efforts de Severus pour vivre sans magie a raffermi notre décision.

-Mais il m’a dit que vous utilisiez un peu de magie. » La voix d’Hermione se brisa d’émotion. « Il m’a parlé du sort d’attirance que vous avez jeté à Jorvik. Comment pouvez-vous utiliser de la magie hors de chez vous, mais pas chez vous? »

Le front d’Adele se plissa de perplexité. « Il n’y a rien de tel à Jorvik » dit-elle interloquée.

« Non ? N’avez-vous pas aidé à créer certaines des pièces de l’exposition ?

-En effet, en tant qu’architectes d’intérieur. Mais pourquoi aurions-nous jeté un sort d’Attirance au Centre Jorvik ? Le Ministère de la Magie n’aurait jamais permis qu’un sort soit lancé sur une attraction moldue. Nous serions déjà à la merci du Bureau contre l’Usage impropre de la Magie.

-Ah. » Elle avait raison. « Alors vous avez juste dessiné l’endroit.

-Eustace et moi étions architectes sorciers avant la guerre, et sommes devenus designers d’intérieur quand nous sommes devenus Moldus. Il nous a fallu un moment pour utiliser des équerres qui ne prennent pas les mesures d’elles-mêmes, mais nous avons fini par nous adapter. » Adele sourit et désigna ce qui l’entourait avec une expression de fierté. « Nous avons dessiné cette maison, aussi.

-Elle donne vraiment une impression d’été.

-Oui. Le blanc est ma couleur favorite. »

Je ne l’aurai jamais deviné.

« Severus peut vraiment faire des plaisanteries stupides, parfois! » Adele plissa le nez en un reniflement amusé. « Un sort d’attirance à Jorvik! Il faut que je raconte ça à Eustace.

-Euh… S’il vous plaît, non, Adele. Je dois avoir mal compris.

-Il n’est jamais aisé de savoir s’il dit quelque chose pour plaisanter ou sérieusement. C’est juste son caractère. »

J’avais vu. Une série de petits indices s’alignaient dans son esprit, comme les miettes de pain du Petit Poucet.

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oOo

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A seize heures, Hermione et Severus se retrouvèrent devant la porte des Boddington. La journée était toujours radieuse, et le ciel dégagé, mais le vent soufflait froid. Frissonnante, Hermione enfila son cardigan de coton tandis que Snape tenait son sac.

« Merci » dit-elle alors que sa main sortait de sa manche pour reprendre son sac.

« Uhm » acquiesça-t-il en retour. « Ils disaient que je ne jouais pas les bons Amphitryon avec vous, Miss Granger. Avez-vous envie d’une promenade digestive ? Voulez-vous voir quelque chose ?

-Mmh, voyons voir. » Elle réfléchit un instant. « Oui. Il y a un endroit que je souhaiterai visiter. J’espère que c’est toujours ouvert. Laissez-moi vous guider, pour une fois. »

Ils passèrent par l’Eglise Toussaint et marchèrent sur Coney Street, toujours pleine de personnes faisant leurs achats. Snape s’arrêta pour lui montrer Guildhall et ils entrèrent une minute, pour voir une plaque commémorative pour le passage de Richard III dans la ville.

La plaque appelait Richard le ‘très célèbre prince au souvenir chéri’. Hermione observa l’homme à ses côtés, plongé dans la contemplation de la plaque de bois sculpté. Elle se sentit plus détendue, ici, dans un lieu public, qu’elle ne l’avait été chez les Boddington. La conversation était plus fluide. Dans un lieu ouvert, ils étaient seuls tous les deux, dans la bulle irréelle qui reprenait à nouveau forme. Elle s’approcha d’un pas.

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oOo

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« Sur la roue ? Vous avez pété un câble, Granger ? » aboya Snape quand Hermione désigna la grande roue sur l’autre rive de la Ouse.

« J’ai envie de venir depuis que je suis arrivée à York. » Hermione sourit, le regard étincelant.

« Mais c’est une horreur ! Une camelote de parc d’attractions ! Un bibelot criard attrape-touristes! » gronda-t-il exaspéré.

« S’il vous plaît. Je sais que vous avez le vertige. Mais vous m’avez dit de ne pas plonger dans les tactiques d’évitement, n’est-ce pas ? Il n’y a rien à craindre. Je serais avec vous.

-Je vous ai également dit de ne pas tenter de résoudre par la logique les peurs illogiques. Si je ne l’avais pas fait, je le fais maintenant » grogna-t-il.

« Oh, allez » dit-elle, commençant à traverser le Lendal Bridge.

Il dut capituler, car elle entendit ses pas derrière elle, un instant plus tard.

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oOo

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Pour pouvoir accéder à la roue, les visiteurs devaient tout d’abord traverser le musée national du chemin de fer. Ce n’était pas un endroit qui intéressait particulièrement Hermione, mais la variété de locomotives exposées lui rappelait le Poudlard Express, et l’excitation qu’elle en ressentait à chaque nouvelle année. Snape grommela que cet endroit ne pouvait plaire qu’à quelqu’un comme Arthur Weasley, tout en continuant à la suivre. Finalement, au milieu de ses protestations, ils atteignirent l’entrée de la roue.

Il y avait peu de visiteurs lorsqu’ils entrèrent dans la cabine qu’on leur désigna. Quelques instants plus tard, la porte se referma, et la cabine bougea légèrement avant de commencer l’ascension. L’horizon de York apparut lentement devant eux, depuis la gare jusqu’aux sommets des arbres des jardins du musée, devant la cathédrale, avec ces deux tours décorées.

Snape était silencieux depuis qu’ils étaient entrés dans la cabine. Il s’assit tranquillement, apparemment pour profiter de la vue, mais Hermione était certaine que son calme n’était que de façade. Mais subir cette ascension ne lui ferait que du bien, elle refusait de s’en remettre et sa nervosité refoulée. Elle lui lança un sourire chaleureux, puis abandonna la sensation paisible d’être montée, montée, montée, puis descendue, descendue, descendue.

Mais ce qui était plaisant pour elle ne l’était visiblement pas pour Severus. Alors que la roue commençait sa seconde rotation, Snape se leva et s’approcha du mur de verre, baissant les yeux sur le sol qui s’éloignait à chaque instant.

« Vous vous sentez étourdi ? » demanda Hermione, la voix vacillante. Evitant de la regarder, Snape secoua la tête, et ses lèvres formèrent un sourire flatteur.

Elle se leva à son tour et vint à ses côtés. Silencieusement elle se tenait près de lui, son bras droit caressant la manche gauche de Severus, jusqu’à ce que la révolution de la roue atteigne son point le plus haut. Puis elle s’immobilisa pour leur offrir la meilleure vue, tandis que la cabine se balançait délicatement sur son pivot.

« Oui » dit-elle doucement. « C’est une… » Elle commença une phrase, mais soudainement, ne sut plus quoi dire, alors elle répéta simplement « Oui ». Doucement, elle inclina sa tête et la déposa sur l’épaule de Snape. Elle allait parfaitement sous son oreille.

Elle put sentir son corps se tendre un instant, et quand il expira, un peu plus tard, elle sut qu’il avait dû retenir son souffle. Avec un petit couinement, la roue reprit son mouvement vers le bas.

Le souffle lourd de Snape au travers de ses narines était le seul son qu’elle percevait. Un soupir plus profond, et il ramena son bras derrière son dos, plaçant sa main sur son épaule gauche. La tête d’Hermione glissa légèrement en avant, entre sa clavicule et la ligne de sa mâchoire, tandis que ses côtes rejoignaient son torse recouvert d’une chemise noire. Elle pressa sa joue contre le col de sa chemise, le doux tissu caressant sa peau, tandis qu’elle passait son bras autour de sa taille, sentant la chair sous sa paume, sous le doux vêtement.

Ils restèrent silencieux durant le dernier tour de roue, observant la ville juste devant eux, se tenant l’un l’autre tout près tandis que le ciel azuré s’assombrissait et que les murs jaunes de la cathédrale brunissaient.

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oOoOoOo

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« Hermione ! Nous ne t’attendions pas aujourd’hui. Quelque chose est arrivé? »

Hermione secoua la tête, souriante. « Rien, maman. Je voulais juste vous faire un coucou et donner ça à papa » répondit-elle en lui montrant un sac du musée national du rail.

« Ah, bien. Mais pourquoi une telle élégance ? La robe bleuet et des talons de six centimètres… Tu es allée quelque part ?

-J’étais invitée pour le déjeuner dans une maison chic » expliqua Hermione, entrant dans le salon et jetant un coup d’œil autour d’elle. « Pattenrond ? Où es-tu ?

-La dernière fois que je l’ai vu, il était dans le jardin, derrière, avec ton père » lui lança Jean Granger. « As-tu bien mangé ?

-Merveilleux. Ce couple, les Boddington, sont des sorciers, mais ils vivent comme des Moldus. Je les ai rencontrés au Centre Jorvik. Tu t’en souviens ? Je t’ai parlé de cet endroit. » En omettant la partie sur Severus.

« Ah, c’est vrai. Eh bien, veux-tu quelque chose à manger pour le dîner ou est-ce que le déjeuner a suffi ?

-Je suis callée, maman, vraiment. Merci. Mais je veux bien une tasse de thé.

-Bien sûr, ma chérie. »

Tandis que sa mère se dirigeait vers la cuisine, Hermione se dirigea vers le jardin. Son père était assis sur une chaise longue, à lire un livre sous la lampe de jardin. Le vieux Pattenrond était roulé en boule sur sa bedaine, dans l’exacte position qui rendait son poids plus lourd. Dès que le demi-fléreur la remarqua, il sauta de sa place confortable –faisant émettre un ‘Ouch !’ et il se retourna- et trotta jusqu’aux pieds d’Hermione, se frottant contre ses chevilles. Puis il posa ses pattes avant sur ses genoux, demandant à être pris dans les bras. Hermione prit le chat et s’approcha de son père.

« Hermione ! Que fais-tu ici ?

-Je voulais juste te donner ça, papa » dit-elle, l’embrassant sur la joue et lui tendant le sac. « Je suis allée au musée des trains, cet après-midi.

-Eh bien, merci, poussin » dit Mr Granger, observant le modèle réduit de train qu’Hermione lui avait ramené. « C’est très gentil. Comment ça se passe dans ta bibliothèque ? »

Pattenrond grimpa sur son épaule, plantant tendrement ses griffes dans son dos. « Tout va bien, pour l’instant » répondit-elle, laissant de côté l’offre d’emploi. « J’ai passé une belle journée.

-Super. Tu restes pour la soirée ?

-Juste une ou deux heures. Je veux rentrer à York pour la nuit.

-Très bien. Nous pouvons voir un film ensemble, alors. »

Assise devant la télévision entre sa mère et son père, Hermione continua à caresser la fourrure de Pattenrond sans y penser, perdue dans sa rêverie.

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oOo

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Avait-il dit quelque chose, cet après-midi ? Probablement, parce qu’elle ne se le rappelait pas silencieux, excepté pour les minutes –siècles ?- qu’ils avaient passé sur la roue. Mais quand elle revint à la maison, elle ne se rappelait aucun mot en particulier, contrairement à son habitude, un signe peut-être qu’elle prenait réellement de l’âge, ou qu’il était capable de parler sans que cela soit mémorable, parfois, ou plutôt qu’il n’y avait rien d’important à dire. Les mots spécifiques avaient disparus, tout ce dont elle se rappelait était la force chaleureuse qui émanait de lui, et qui était en réalité toujours avec elle, l’entourant comme une peau faite de lumière. Elle se rappelait la douceur de sa taille serrée sous ses doigts, et la forme des os de son épaule sous sa tempe. Elle se rappelait la chaleur montant dans sa poitrine alors qu’elle se pressait contre Severus. Le contact de ses doigts sur son épaule. Avait-elle réellement besoin de se rappeler de ses mots? Sa conversation à elle n’avait pas non plus été brillante, d’ailleurs.

D’un doigt, elle traça de petites spirales sur son oreiller, les doux ronronnements de Pattenrond envahissant son esprit jusqu’à ce qu’elle sombre dans une torpeur paisible.

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Note de cabepfir : Ce chapitre contient une licence poétique majeure, puisque la Roue du Yorskshire, après avoir porté près d’un million de visiteurs, a été démantelée en novembre 20008 et attends toujours d’être installée ailleurs. J’espère que vous acceptez ma décision de l’avoir laissée rester près du musée national du rail en août 2009. Je voulais que Severus et Hermione y aillent J

‘Horreur’ et ‘babiole de parc à thème’ sont des définitions que j’ai trouvé comme commentaires à cet article www. yorkpress. co. uk /news /8715738 . Big_wheel_set_to_return_to_York/

Mes plus grands remerciements à Pink Raccoon pour son soutien chaleureux pendant l’écriture de ce chapitre. Valady m’a généreusement éradiqué la majorité des erreurs, celles restant sont de moi.

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Note de Sockscranberries :

Oh, celui-ci était plus court !

Mais il était sympa quand même J

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Aë : Ben oui, c’est pour ça que je l’ai traduit deux fois plus vite, il est deux fois plus court ^^

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Note de Sevy4eveR : Et ben voilà !!! Un minuscule, minuscule tout petit petit pas fait vers le rapprochement de nos deux tourtereaux ^^ Donc ça avance doucement mais sûrement !

Et sinon, c’était un très joli chapitre, j’ai bien aimé !

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~ Johnny Cash, L’anneau de flammes (J’adore cette chanson *_*)

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Nous, Eustace et Moi, nous abstenons volontairement d’utiliser la magie, comme vous vous abstenez de manger de la viande. (L’explication se tient)

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-Oui. Le blanc est ma couleur favorite. » (Trop de blanc tue le blanc !)

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« Sur la roue ? Vous avez pété un câble, Granger ? » aboya Snape quand Hermione désigna la grande roue sur l’autre rive de la Ouse. (Pour une fois je suis d’accord avec lui ! J’ai horreur des grandes roues !!)

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Ce n’était pas un endroit qui intéressait particulièrement Hermione, mais la variété de locomotives exposées lui rappelait le Poudlard Express, et l’excitation qu’elle en ressentait à chaque nouvelle année. (Pfff, être excitée par un train alors qu’on a Sev pour toute une année de cours... faut l’faire quand même O_o ) Aë : vu que tu avais mal écrit ‘excitée’ tu dois ptet en manquer toi-même en ce moment ^^ je t’envoie pas assez de chapitres ? XD

Un été à York 13
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D
Enfin un petit rapprochement! Mais connaissant ces deux là et surtout dans cette fic, il va peut-être falloir encore un peu de temps pour que leur relation évolue plus franchement...<br /> A bientôt j'espère pour la suite, et encore merci pour ton super travail de traduction!
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A
En fait le chapitre 14 est prêt et j'ai commencé hier à traduire le 15 ^^<br /> la fic va avancer assez vite, maintenant, en fait ^^
H
Alors autant j'aime qualifier la métamorphose de &quot;macaron&quot;et de &quot;crème brûlée&quot; parce que quand on a fini, on a un goût de trop peu que un &quot;été à York&quot;, c'est le morceau de chocolat Lindt, la dose de douceur dans un monde de brutes...<br /> Dis moi Aë, est ce normal qu'à chaque fois que je viens sur ton blog, j'ai faim?
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A
XD<br /> avec des comparaisons aussi alléchantes, tu me donnes faim, argh XD
A
Un rapprochement tout en douceur....
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A
encore un peu de patience, n'est-ce pas ^^
K
Merci pour ce nouveau chapitre que j'ai adoré.<br /> Vite, ne nous fait pas trop attendre pour la suite :)
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A
Désolée ^^'
M
Sa se rapproche petit à petit en tout cas jdr énormément. Merci pour la suite
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A
Merci à toi ^^