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les fanfics d'Aë

La remarquable réalisation de Severus Snape (OS)

8 Décembre 2016 , Rédigé par Aësälys Publié dans #OS

La Remarquable Réalisation de Severus Snape

Os de Laurielove

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Le Maître des Potions est assez surpris par les questionnements (Aë : wonderings) de son esprit… et vagabondages (Aë : wanderings/ une fois de plus, la VO claque ^^) de ses yeux. HGxSS plein d’humour et qui fait glousser. Hermione est une élève de 19 ans. Snape est toujours Maître des Potions. Contenu M.

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Note de Laurielove: Le prochain chapitre de ‘The Sense of Taste’ est presque prêt. Honnêtement. Et il y aura une autre fic longue très bientôt, et puis une autre…

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Cette histoire est un peu différente. C’est le processus de pensée de Snape, un flux de conscience (Aë : stream of consciousness… les retours des termes des cours de littérature moderne à la fac ^^’), je suppose, écrit à la première personne, de son point de vue. Les seuls mots qui ne sont pas ses pensées sont certains dialogues entre lui et Hermione.

Mais je voulais différencier un peu ses pensées. Parfois il se parle à lui-même, luttant presque contre lui-même, et à d’autres son train de pensée est interrompu par des incidents qui le poussent dans une autre direction. Toutes ses pensées sont en italiques, mais ces pensées différenciées sont aussi en gras. Le format différent sert simplement à vous guider, à informer votre compréhension, pour apporter un niveau d’intensité différent à certaines pensées –il n’y a pas de signification majeure rattachée à cela.

Le dialogue (la seule chose à haute voix de toute cette histoire » est en texte normal avec guillemets. Tout le reste du texte est entièrement dans la tête de Snape –pas à voix haute. Et, comme d’habitude avec moi, nous accordons à Snape l’avantage de ne pas être mort, et à Hermione celui d’être revenue à l’école pour sa huitième année, et d’avoir dix-neuf ans.

J’ai eu de super réponses à mes fics humour et je voulais en écrire une autre depuis un moment. J’espère que vous trouverez ça drôle. Ca ne commence pas ainsi, mais vous verrez la progression. Mais cela montre aussi un peu de ma vision de cet homme : intellectuellement arrogant mais avec de forts principes académiques, l’opinion marquée, émotionnellement abîmé et confus, mais, quand l’opportunité se montre, toujours un homme, au fond. Et les hommes, comme on le sait, peu importe qui ils sont, vont, en ces instants, penser avec leur machin. <3

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**Il est vital que vous lisiez les notes de l’auteur au-dessus avant de lire ça… Je sais que certains d’entre vous sont très pervers et s’en fichent. Tut tut tut –Le Maître des Potions en sera très mécontent.** (Je trouve les notes de l’auteur très confuses mais je vais lire l’histoire pour voir si oui ou non c’est « vital »XD) Genre comme moi ? :p

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Dernière semaine intensive de tests de potions. Oh oui. Mon petit rite pour leur fin de scolarité.

Ils ont eu leurs ASPICs la semaine dernière. Nombre de mes collègues pensent qu’après la supposée intensive exactitude des examens, nous devrions détendre la ferme rêne de l’attente académique durant ces quelques derniers jours, mais pas moi. Nos pupilles bénéficient de notre rigueur en tous temps. L’année scolaire dure jusqu’au 5 juillet, j’assure donc du travail à mes élèves jusqu’au 5 juillet.

Je peux sentir leur dissentiment. Il accroche à ma salle de classe comme un brouillard : amer, épais et âcre. Non pas que cela me déconcerte, loin de là. Je crois fermement qu’un peu d’acrimonie aide l’esprit à se concentrer. J’ai eu les plus hautes attentes de moi-même durant ma scolarité, pourquoi devrais-je attendre moins de ceux à qui j’enseigne ? Ils me détestent maintenant tout comme j’étais détesté lorsque j’étais l’un d’entre eux. Je perpétue simplement ce que je connais.

Regarde-les maintenant, assis, leurs esprits aussi drainés et torpides que leurs corps. Je sais ce qu’ils veulent : ils veulent être propulsés à l’étape suivante de leurs vies – brillants, avides et débordants d’énergie : énergie intellectuelle, énergie physique, énergie sexuelle. Je m’en souviens. Malgré ce qu’ils peuvent en penser, j’étais de même. Mais cela m’a été refusé. Et cela peut leur être refusé encore quelques jours.

Même elle.

Elle est maintenant assise là, pas différente des autres, toujours aussi désespérée de s’échapper d’ici, de s’échapper de la routine institutionnelle, de s’échapper de l’ennui bourdonnant de ses professeurs insipides… de s’échapper de moi.

Me pense-t-elle aussi insipide ? Peut-être bien.

Mais tout du moins, je dois l’admettre, elle semble vouloir plaire. Mais j’entends qu’elle est de même dans toutes les matières –je doute qu’il s’agisse d’un désir spécifique pour me plaire, per se. J’en doute, étrangement.

Elle semble vouloir se plaire plus que toute chose, s’élever pour accomplir les exigences posées par ses propres éminentes attentes. Une fille curieuse, si fermement enveloppée de standards, même maintenant. Bien qu’à cet instant précis je vois un relâchement léger, même de sa rectitude intellectuelle. Ces sourcils sombres sont froncés, la bouche boude un peu. Les lèvres retombent… lèvres très charnues…

Bordel de merde ! Arrête ça, mec. Depuis quand ai-je commencé à penser à mes pupilles ainsi ?  barbe de Merlin, je pense parfois devoir me débarrasser de ce lieu.

Elles ne m’ont jamais impressionnées, les filles à qui j’enseigne, ne m’ont jamais laissé de marque, pas ainsi. J’ai toujours ignoré les conversations dans la salle des professeurs, les vœux rampants de vouloir se foutre dans telle ou telle fille de l’Allée des Embrumes. J’ai toujours tourné les talons, dégoûté par leurs bavardages.

Mais elle…

Elle a souffert, je lui accorde cela. Et elle a été courageuse. Très courageuse.

Et elle porte une maturité poignante en elle. Cela a toujours été le cas, mais tout spécialement maintenant…

Mais elle m’abhorre, tout comme les autres. Elle le doit. Je lui en ai donné toutes les raisons.

Elle m’a regardé. A l’instant. La fixais-je? Cela devait être le cas. Bêtise.

Je la fixe encore. Non pas, je puis appeler cela… plutôt… l’évaluer.

Elle est une chose étrange, je lui accorde cela. Et, après cet incident assez amusant avec ses dents, il y a quelques années, il y a eu une distincte amélioration dans son apparence. Elle doit avoir près de vingt ans, maintenant. Et ses expériences lui donnent les traits d’un charme mature. Je suppose que si j’y étais pressé, j’admettrais qu’elle est assez agréable à l’œil.

En effet, je suis surpris que les garçons ne se jettent pas sur elle comme les morceaux de vermine soumis à leurs hormones et poussés par le sexe qu’ils sont. Cela a clairement été le cas de Weasley. J’ai entendu qu’il a depuis échoué. L’ignorant a été remis à sa place. Et Potter? J’ose dire qu’il a eu sa part, mais sait qu’il ne tiendrait pas deux minutes avec une telle femme.

Pour ce qui est des autres, ils auraient été réduits à des amas dégoulinants de pus chargés de luxure après un regard de sa part. J’imagine qu’elle les terrifie. Ils n’osent pas l’approcher.

Elle m’a encore regardé. Bordel. Qu’est-ce qui me prend, bon sang? Je souriais. Merde, je souriais. Souriais et la dévisageais.

Bordel de merde; elle va croire que je suis un vieux pervers en rut comme Slughorn.

Oh, saloperie de chiure de chiottes –elle vient par là. Baisse les yeux, queutard.

« Professeur Snape ?

-Quoi ?

-Il y a une erreur page onze.

-Je vous demande pardon ! » L’insupportable petite pharisienne condescendante !

« Ici. Vous demandez ce qui arriverait si nous ajoutions de l’essence de genévrier à une infusion d’écorce de cèdre et aux mûres. Je présume que vous souhaitez que nous identifiions le paradoxe auto-explosif, mais vous devez parler d’écorce de cyprès, car si l’on ajoute du genévrier aux écorces de cèdre et aux mûres, il n’en résulterait qu’une odeur agréable, rappelant quelque peu le gin un soir d’été. »

Merde, elle a raison. Saleté.

Le gin un soir d’été. Je me demande si elle aime le gin.

« Ne soyez pas ridicule, Miss Granger. Il n’y a aucune erreur dans mes documents.

-Eh bien, il y a celle-ci. »

Bordel de merde, femme, ce que vous pouvez être irritante !

« Veuillez aller vous asseoir et achever votre travail avant que je n’adopte une approche moins que magnanime face au ridicule de votre attitude tatillonne. »

Elle sent le pois de senteur.

« Tant que vous ne nous faites pas perdre des points si nous ne mettons pas les réponses que vous attendez. Je ne veux pas que les notes des autres élèves soient compromises. »

Oh, que Merlin aille se faire foutre, elle est aussi déléguée syndicale. Une fois qu’elle y a mis les crocs… Elle a légèrement rougi. Cela lui va assez bien.

« Vous êtes la personne la plus opiniâtre et présomptueuse que j’ai jamais eu l’infortune de croiser, Miss Granger. Très bien. Si vous êtes si inquiète des résultats de ce test, vous resterez à la fin pour noter chaque devoir en tandem avec moi, pour assurer la plus parfaite équité. »

Ca va la faire taire.

« Bonne idée.

-Quoi ?

-J’ai dit bonne idée. C’est une chose très juste et logique à faire. »

Oh, bordel de merde, femme, trouve-toi une vie ! J’aimerai qu’elle ne me regarde pas ainsi. Elle a les yeux très profonds. Et grands, aussi. Et l’ombre entre ses seins est… Oh, doux Merlin, ne commence pas… Pas ça… Pas maintenant…c’est presque la fin du cours. Je ne serais pas capable de me lever, à cette vitesse. Cesse de la regarder, espère de crétin pathétique affamé de sexe ! Bordel, ça fait sacrément longtemps. Je savais que j’aurais dû sortir de ce clapier.

« Voulez-vous que je reste immédiatement après, monsieur ?

-Oui. » Non ! NON ! Je voulais dire NON! Pourquoi ai-je dis oui, bordel? « Je veux dire…

Crache le morceau, mec!

« Quoi, monsieur ? »

Pois de senteur.

Est-ce mon imagination ou est-ce qu’elle s’est approchée de moi ? Ne lève pas les yeux. Ne la regarde pas, bon sang. Regarde juste le sol, ou je ne sais quoi.

La hauteur de ces talons est-elle convenable pour l’uniforme? Intéressant. Je n’aurai pas pensé qu’elle porterait de tels talons. Ils sont assez flatteurs, je dois l’admettre. Belles jambes.

Superbes jambes.

Putain ! Cesse de la regarder, merde! Mais elle se tient juste à côté de moi… Où pourrais-je regarder d’autre ?

« Oui, oui, très bien, Miss Granger. Juste après le cours. Mais vous devrez faire vite. Cela pourrait être plus dur que ce que vous croyez. »

Merde ! ‘Plus dur que ce que vous croyez’ ? ‘Faire vite’ ? Que va-t-elle en penser ?

« Très bien, monsieur. Je suis impatiente. J’aime ce qui est dur. »

Oh, bon sang. Je ne peux vraiment plus me lever, maintenant.

Heureusement, elle retourne à son bureau. De cet angle, je dois en revanche admettre… qu’elle a vraiment le plus parfait des petits culs rebondis. Merlin, je…

Arrête ça ! Concentre-toi, Snape, concentre-toi. Et ne la regarde plus, putain. Ne regarde pas. Ne regarde pas. Ne…

Elle me regarde. Et sourit. Oui, elle me sourit.

Je pense que je viens de répondre d’un sourire. Pourquoi ai-je fait ça ? Je veux dire, merde, pourquoi ai-je fait ça ? Eh bien, c’était tout juste un sourire, plus une… grimace inversée. Probablement pas très flatteur. Pourquoi m’en soucierai-je?

Merlin, je veux que cette leçon se termine, pour qu’il ne reste que nous deux.

Ne pense pas à ça, pathétique branleur ! Concentre-toi ! Concentre-toi sur les autres, imbéciles qu’ils sont.

« Il vous reste deux minutes pour terminer le devoir. »

Ils ont échoué, tous autant qu’ils sont, j’imagine. Cornichons. Pas elle, bien sûr. Jamais elle. C’est ça, concentre-toi sur son agaçante arrogance intellectuelle et cela calmera un peu la chose.

Tout de même… Je n’ai jamais connu une telle femme. Elle pourrait en remontrer à Nicolas Flamel. Je la vois bien se tenir face à lui, posant ses principes, main sur la hanche, ses jambes frémissantes, ses seins agités alors qu’elle s’excitait sur…

« Bien ! C’est la fin de votre devoir. Merci de replacer vos documents sur mon bureau et de partir immédiatement. » Pourquoi ma voix est-elle devenue couinante ?

« Vous ne voulez pas que j’y aille, n’est-ce pas, Monsieur ?

-Non, ne partez pas. » Je l’ai dit bien trop vite, non ? Ne lève pas les yeux. Attends, Snape, attends. Ne laisse personne penser qu’il y a quelque chose là-dessous. Je veux dire, ce n’est pas le cas, si?

Si?

Merlin, c’est entre nous, maintenant. Ils sont tous partis. Juste nous. Moi et elle. Seuls. Ici. Maintenant.

« Dois-je prendre ceux-là, au dessus, et commencer, Monsieur ?

-Très bien. Là »

Oh, bordel de merde, j’ai touché sa main ! Douce et chaude. Si douce et chaude.

Elle me regarde. Encore. Et sourit. Encore. Et maintenant elle touche encore ma main.

« Ermmm…

-Est-ce que ça va, Monsieur? »

Non ! Je ne vais pas biendutoutputain ! Je veux te retourner sur mon bureau et te marteler sauvagement avant que ma queue explose! « Bien sûr que je vais bien ! Pourquoi ne serait-ce pas le cas ?

-C’est juste que vous avez fait un bruit assez étrange. »

C’est bon, inutile d’insister ! « J’ai juste un léger pincement dans la gorge. »

Ecarte-toi d’elle, Snape. Lève-toi et part !... Ne la laisse pas voir ton entrejambe, c’est tout.

Elle me suit. Oh, bon sang, femme, vous n’avez aucune pitié pour un pauvre homme ?

« Professeur… »

Ne le dites pas ainsi! Ca me donne vraiment l’impression d’être un sale pervers !

« Quoi ! » C’est bien. Tu as l’air en colère. Leur foutre la frousse avec de la colère et du dédain : généralement, ça fonctionne.

« Je… Juste… »

Quoi ? Quoi?

« Je pensais… »

Tu ne fais que ça, espèce d’aga… Oh, Merlin, elle touche mon bras !

« Je pense que vous avez besoin de… vous détendre un peu.

-Errm… »

Putain.

« Je peux vous aider… Si vous me laissez faire. »

Putain.

« Errm… »

Oh, Merlin, je la veux. Je ne peux me rappeler de la dernière fois où j’ai été si dur.

« J’y pense depuis longtemps… »

Vraiment ? Elle n’a pas donné l’impression de… Bordel de merde ! Elle met sa main dessus !

« Professeur… »

Par les couilles velues de Merlin, elle le caresse ! Elle le caresse, bon sang !

« Vous aimez ça ? »

Bordel, que suis-je censé répondre à ça ! « Errm…

-Si vous voulez que j’arrête, je le ferai. »

Non ! N’arrête pas, bordel ! N’arrête jamais! « Miss Granger… c’est hautement incorrect.

-Mais c’est bon, n’est-ce pas ? »

Ohhhh… Merlin me vienne en aide.

Merde ! Elle défait les boutons. Elle plonge la main à l’intérieur! Arrête-la maintenant, mec ! Mais, enfer et damnation, c’est doux. C’est une telle douce, douce perfection. Je ne peux… je ne peux arrêter…

« Tu es si doux… Je savais que tu le serais… J’en ai rêvé si longtemps… »

Quoi ? C’est une plaisanterie ! Moi! Elle l’a bien caché.

« Severus… »

Oh, doux Merlin. Dis-le encore.

« Severus… »

Oui…

« Tu es tellement grand… »

Bonheur. Je suis le Bonheur.

« Je te veux en moi. »

Moi aussi. C’est tout ce que je veux. Être dans ton être parfait parfait, ton corps parfait. Mais… Quoi ? Elle vient vraiment de dire ça ?

« Miss Granger, s’il vous plaît, c’est…

-Chut… »

Oh, bon sang, elle retire ses vêtements. Oui, s’il te plaît, s’il te plaît, dépêche-toi. S’il te plaît, s’il te plaît… Oh, doux Merlin… Voilà la beauté. Ces seins et maintenant… Merde je ne peux pas regarder… Je ne peux pas ne PAS regarder.

« S’il te plaît, jouis en moi. »

Elle est si confiante. Pourquoi est-elle si confiante ? Je m’en fiche. Je la veux. Re-garde-ça. Merlin. C’est incroyable. Pourquoi est-ce que j’attends? Je ne peux pas. Je vais me rendre complètement ridicule si je ne me presse pas. Bon sang, elle est, umm, assez mouillée, pour ainsi dire.

« Severus, vite… c’est ça, là, maintenant… oui ! »

BORDEL !

Bordel, bordel,bordel.

Bordeeeeeeel.

Bordel, bordel de dieu.

« Oh mon dieu, Severus, si bon, si si bon, s’il te plaît bouge en moi, bouge en moi. »

Bordel, bordel de dieu.

Bordel de dieu.

Bordel.

« Oui, oui, c’est ça, enfin, si bon, merde, si bon… »

A qui le dis-tu ! Merde, je peux pas croire être en train de faire ça, j’en reviens pas, j’en reviens pas…

« Severus, plus fort. Prends-moi plus fort. »

Par les coquilles de Merlin, elle est incroyable. Putain, je ferai n’importe quoi pour elle.

« Oui ! Bon sang c’est ça… Severus, je viens, je viens… »

Merde, c’est elle. Putain de bordel de merde, je peux la sentir… oooh merde, merde, merde, je vais…

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oOo

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« Severus ? Est-ce que ça va ? »

Ca n’a jamais mieux été. « Oui. Je suis désolé, je…

-Tu es désolé ? Severus, tu sais depuis quand j’ai désiré cela ? En fait, je pourrais te le dire, mais alors je devrais te tuer. »

Oh Merlin, et en plus, elle est drôle.

Je lui succombe. Ca n’a pas été le cas, pour quiconque, depuis… Elle est si chaude… Je ne veux jamais sortir d’elle.

« Severus ? »

Reste…

« Severus, as-tu une chambre ? »

Tiens, en voilà une bonne idée. Pourquoi ne l’ai-je pas eue ?

« Je devrais sortir de toi. Je n’en ai vraiment pas envie.

-Seulement pour un instant. »

Elle caresse mes cheveux. Personne n’a jamais caressé mes cheveux, de toute ma vie. « N’arrête pas ça.

-Quoi ?

-Caresser mes cheveux.

-Ok. »

Je peux la sentir sourire. J’aime cela. Je pourrais nous transplaner au lit. Je devrais trouver une excuse pour la Directrice, mais je saurais m’en tirer. Je me demande s’il est possible de transplaner avec la queue plongée en quelqu’un ?

Il n’y a qu’une façon de le découvrir.

« Severus, que fais-… Whoa ! »

Apparemment oui.

Je suis le Bonheur.

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Note de Laurielove : Regardez par là pour plus de fics. J’espère que vous avez aimé… un peu différent, hein?

Merci pour toutes les super reviews, PM et votes sur le sondage du mur des fics. C’est toujours là si vous n’avez pas voté.

LL x

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Note de Nathea : Ca reste assez soft pour du M, on a connu traduction plus « graphique » mais c’est très bien comme ça. Très bien écrit, et joli choix de vocabulaire pour la traduction !

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Aë : Merci <3

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Note de Océe-Snape : Oooh, c’était bien sympathique tout ça ! Citronné comme je les aime sans être trop trash ni vulgaire :D

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L’année scolaire dure jusqu’au 5 juillet, j’assure donc du travail à mes élèves jusqu’au 5 juillet. (Ah on a tous eu des profs comme ça)

Je peux sentir leur dissentiment. Je ne connaissais pas le mot :o Aë : Lire Aë développe le vocabulaire *_* Il accroche à ma salle de classe comme un brouillard : amer, épais et âcre. Non pas que cela me déconcerte, loin de là. Je crois fermement qu’un peu d’acrimonie celui-ci non plus Aë : Qu’est-ce que je disais *_*

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Mais j’entends qu’elle est de même dans toutes les matières –je doute qu’il s’agisse d’un désir spécifique pour me plaire, per se. (Moi pas comprendre ce « per se » tu peux m’expliquer stp ?)  Aë : latinisme ^^ Ca veut dire ‘en soi’.

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Bordel de merde ! Arrête ça, mec. Depuis quand ai-je commencé à penser à mes pupilles ainsi ?  barbe de Merlin, je pense parfois devoir me débarrasser de ce lieu. (je trouve l’expression lourde et vraiment pas fluide, me débarrasser de ce lieu dans le sens y foutre le feu ? ou alors en partir ?) Aë : en partir ^^’

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Elle m’a encore regardé. Bordel. Qu’est-ce qui me prend, bon sang? Je souriais. Merde, je souriais. Souriais et la dévisageais. (le truc flippant quoi !)

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« Très bien, monsieur. Je suis impatiente. J’aime ce qui est dur. » (ahahahahaha et bé, elle se fait coquine la Granger) xDDDDD

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Merlin, je veux que cette leçon se termine, pour qu’il ne reste que nous deux. Ahem

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« Bien ! C’est la fin de votre devoir. Merci de replacer vos documents sur mon bureau et de partir immédiatement. » Pourquoi ma voix est-elle devenue couinante ? L’envie mon cher Severus, l’envie et les pensées

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« Je peux vous aider… Si vous me laissez faire. » Pourquoi je souris à fond comme une grosse débile ? :’)

 

La remarquable réalisation de Severus Snape (OS)
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B
La mise en forme des caractères fonctionne très bien pour différencier les niveaux de pensée. J'ai un faible pour la voix intérieure en gras, mais l'ensemble est hilarant.
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A
merci ^^
A
C'était drôle, sexy, mignon ! Bref, un os parfait :)<br /> <br /> Ty Aë.
Répondre
A
merci ^^
C
Vraiment sympa cette petite histoire!! Merci Aë!
Répondre
A
je t'en prie!
S
Merci pour la traduction! C'est vraiment bien d'avoir quelque chose de plus soft une fois de temps en temps. J'ai adoré!
Répondre
A
je t'en prie ^^
Z
Très, très savoureux cet OS. Merci pour cette traduction !
Répondre
A
je t'en prie!