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Nous aurons toujours Paris 1-4 (fin de la première partie)
Disclaimer d’Ataraxie: Seule l’histoire m’appartient.
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Chapitre 4 : Nous aurons toujours Paris
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Vide.
Quand elle se réveilla, Hermione découvrit que la place dans le lit, près d’elle, était vide. Elle tenta d’entendre un son s’échappant de la salle de main, mais il n’y en avait pas. Severus Snape était parti tôt le matin, ou peut-être tard durant la nuit.
Peut-être, après tout, était-ce préférable ainsi, pensa-t-elle, ne sachant pas si elle aurait été capable de lui parler comme s’il ne s’était rien passé durant la nuit. Ils avaient fait l’amour, et plus d’une fois…
Severus lui avait fait découvrir un monde plein de plaisirs qu’elle n’avait pas même imaginé auparavant. Il l’avait embrassée avec tant de ferveur, une chose qu’elle ne pensait pas possible d’un homme tel que lui. Le Maître des Potions l’avait amenée à l’orgasme à plusieurs endroits, dans ce lit, sous la chaleur d’une douche, et même sur le tapis rouge duveteux au pied du lit. Hermione rougit en se remémorant cet instant, quand elle avait eu besoin de se laisser aller sur le lit pour ne pas tomber, quand Severus l’avait prise par derrière, ses mains enfoncées dans ses cheveux bordéliques.
Un bordel. La soirée et la nuit avaient été un vrai bordel, mais oh, c’était un bordel plein de plaisir, et inoubliable. Intérieurement, Hermione regrettait que Severus soit parti sans un mot. Oui, même si elle n’aurait pas été capable de lui parler, ils auraient pu poursuivre leur aventure et prendre avantage de cette petite heure avant la reprise de la conférence, et explorer plus avant leurs corps…
Avec un soupir, elle sauta du lit et se décida pour une douche. Une douche froide.
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Severus prit place dans la salle de la conférence, et jeta un coup d’œil rapide autour de lui, cherchant Hermione. Mais après quelques secondes, il secoua la tête et reporta son attention sur le Maître des Potions à sa droite, qui semblait impatient de lui parler du projet sur lequel il travaillait. Souriant inconsciemment et acquiescent de temps à autre, il fit de son mieux pour sembler intéressé par la conversation, mais, intérieurement, il pensait à des choses totalement différentes.
Severus pensait au corps d’Hermione, à ses courbes harmonieuses qu’il avait touchées et caressées durant toutes ses longues heures, ses petites mains sur ses reins, le pressant à la prendre plus fort, et plus profondément… Ses cris de plaisir, ses murmures contre son oreille, les perversités qu’elle avait dites sous l’effet de la passion… Tout lui revenait, et il tentait de toutes ses forces de ne pas montrer le moindre signe de ce qu’il avait en tête.
« Ca semble être un gros travail » parvint-il à commenter à la fin de la présentation de son collègue, même s’il n’avait pas la moindre idée de ce dont ce type chauve parlait. « Mais si vous voulez bien m’excuser, je dois aller traiter d’un sujet important avec quelqu’un. »
Il l’avait vue, bien sûr, dès l’instant où elle avait posé le pied dans la salle. Elle était vêtue d’une robe noire s’arrêtant au genou, avec ses habituels talons hauts, et elle observait autour d’elle comme pour chercher quelqu’un. Severus sourit, sachant parfaitement bien qui elle cherchait. En un battement de cœur, il fut devant elle, et vit qu’elle mordillait sa lèvre inférieure, comme elle l’avait fait tant de fois alors qu’elle avait été dans ses bras, la nuit précédente.
« Miss Granger » la salua-t-il en saisissant sa main droite pour l’embrasser.
« Inutile d’être si formelle » marmonna-t-elle avant de récupérer sa main. « Vous étiez bien plus… Naturel, hier.
-Est-ce que cela signifie que vous avez apprécié? » demanda Severus, faisant un pas en avant pour s’approcher de cette femme enivrante.
« Je pense que ma réaction à votre attitude était une réponse suffisante » répondit-elle avec un sourire.
Severus ouvrit la bouche pour répondre, mais il fut interrompu par l’organisateur de la conférence, qui invitait tout le monde à prendre place. Hermione déposa rapidement sa main sur son avant-bras pour l’empêcher de s’éloigner.
« J’ai une place réservée, cette fois » indiqua-t-elle rapidement. « Mais nous pourrons nous retrouver à la fin de la conférence. »
Le grand Maître des Potions acquiesça et l’observa rejoindre son fauteuil. Il savait qu’elle devrait quitter Paris à la fin de la conférence, et il comptait bien prendre avantage de chaque instant qu’ils pourraient partager avant son départ.
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Le séminaire de deux jours se concluait sur un dîner avec tous les Maîtres et Maîtresses des Potions, et cette fois, Severus et Hermione étaient à des tables différentes. Comme d’habitude, Hermione ne put penser à rien d’autre. Et si c’était un signe pour ce qui allait advenir? Elle devrait quitter Paris à la fin du dîner, et retrouver Londres, reprendre sa vie ennuyeuse sans personne à ses côtés, sans lui à ses côtés.
Son regard resta fixé sur Severus pendant une bonne part du dîner, et elle remarqua la blonde, près de lui, cette même femme qui avait tenté de captiver son attention, le premier soir. Alors qu’il ne semblait pas avoir été intéressé cette première fois, les choses, ce soir, semblaient différentes. Severus, l’homme qui lui avait fait l’amour quelques heures seulement auparavant, souriait à l’autre, apparemment content de partager sa compagnie.
Il n’est pas à toi, se sermonna Hermione en terminant son verre de vin. Bien sûr qu’il ne l’était pas, et il pouvait faire tout ce qu’il voulait, cela ne la concernait pas, après tout.
Mais plus le temps passait, plus Hermione était agacée. La main de la blonde était sur le bras du Maître des Potions, et elle riait comme si elle lui disait quelque chose de drôle. Depuis quand Severus Snape jouait les comiques, au nom de Merlin ?
Alors qu’elle terminait en silence son dessert, elle remarqua qu’il n’avait pas une seule fois, durant le dîner, tenté de croiser son regard. La goutte d’eau fut lorsqu’il se pencha vers la jeune femme pour lui murmurer quelque chose à l’oreille, un sourire charmeur étirant ses lèvres. Elle ne pouvait s’empêcher de comparer ce mouvement à ceux qu’ils avaient partagés la veille. Blessée, et au-delà de ça, humiliée, elle n’attendit pas l’habituel discours de l’organisateur pour quitter la salle de dîner. Elle voulait rentrer à Londres immédiatement, et oublier tout ce qui s’était déroulé durant le séminaire. Tout.
« J’ai besoin de prendre un peu l’air, je reviens de suite » expliqua-t-elle avec un sourire forcé à la personne à sa droite, qui semblait surprise de la voir quitter la table.
Une fois sortie de l’hôtel, Hermione respira profondément, et leva les yeux vers les nuages lourds qui l’empêchaient de voir les étoiles du ciel parisien. Même le temps était contre elle, pensa-t-elle avec un sourire illusoire.
« Une cigarette ? » proposa une vois masculine, derrière elle, la faisant sursauter. Elle se retourna rapidement, et elle fronça les sourcils en découvrant Severus à quelques pas derrière elle.
« Que fais-tu ici ? » gronda-t-elle, irritée de le retrouver à cet instant précis.
« La même chose que toi, je suppose » lâcha-t-il en allumant sa cigarette. « Tu es sûre de ne pas en vouloir une? » insista-t-il.
« Je ne fume pas » refusa-t-elle en secouant la tête. « Et je ne savais pas que tu étais fumeur.
-Je ne l’étais pas, à Poudlard » admit Severus. « Je présume que vivre à Paris peut changer certaines choses chez un homme.
-Pas pour le meilleur, malheureusement. Maintenant, si tu veux bien m’excuser, je voudrais être seule » rétorqua Hermione avant de s’éloigner dans la rue, sans payer attention à Severus, qui la suivait. Ils marchèrent ensemble quelques minutes, et finalement, Hermione se retourna et s’immobilisa au milieu de la rue.
« Je pensais avoir été claire, quand j’ai dit vouloir être seule » siffla-t-elle, obtenant de Severus un sourire, tandis qu’il se débarrassait de sa cigarette.
« Et je pensais que vous suivre serait un signe clair prouvant mon désir d’être avec vous » contra-t-il de sa familière voix basse, une étincelle d’amusement éclatant dans son regard d’obsidienne.
« D’être avec moi ? » répéta Hermione avec un rire ironique. « Je n’en avais pas l’impression, durant le dîner.
-Tu es jalouse » comprit-il, surpris. « Hermione Granger est jalouse, oh Merlin, c’est une des choses les plus surprenantes que j’ai entendues depuis bien longtemps.
-N’essaie pas d’être drôle. Je ne suis pas jalouse. Tu es juste… Juste… » commença-t-elle, cherchant l’adjectif adéquat.
« Je suis juste… ? » répéta le Maître des Potions avec un petit sourire.
« Oh, s’il te plaît ! Ne m’oblige pas à le dire.
-Je t’en prie.
-Bon sang, tu es tellement ennuyeux ! » lâcha Hermione avant de se détourner, agacée par l’attitude de Severus. Mais quand Severus la suivit pour la seconde fois, et plaça sa main sur son avant-bras, elle s’immobilisa à nouveau.
« Que veux-tu ?
-S’il te plaît, viens avec moi… » souffla-t-il, et cette fois, sans sourire. « Je t’ai promis une visite de Paris, c’est donc maintenant ou jamais.
-Je viens de dire…
-Que je suis la personne la plus ennuyeuse au monde, oui, j’ai compris » poursuivit-il. « Mais je peux t’assurer que cette visite ne le sera pas. »
Hermione releva les yeux vers lui, tentant de voir si, d’une manière ou d’une autre, il plaisantait.
« Je ne suis pas habillée comme il faut… » tenta-t-elle, mais Severus secoua la tête.
« Tu es parfaite.
Finalement, elle accepta, presque à contrecœur mais, alors que le temps passait, elle se détendit en compagnie de Severus. Ils marchèrent beaucoup, utilisant parfois un taxi, et Hermione fut étourdie par l’architecture splendide de Paris. La Tour Eiffel, de nuit, était magnifique, et sa chaude lumière orangée était suffisante pour tomber amoureuse du monument. Le Quartier Latin fut également inoubliable, avec ses petites allées en pente, et ses bars pleins de personnes. Pour conclure la visite, ils marchèrent le long de la Seine, jusqu’à tard dans la nuit.
« Merci, Severus, c’était incroyable » lui déclara finalement Hermione, la tête pleine de souvenirs éclatants.
« Heureux de savoir que tu ne regrettes pas ta décision de m’avoir suivi.
-Bien sûr que non. La ville est incroyable, et je comprends parfaitement pourquoi tu vis ici.
-Mon appartement n’est pas très loin, si tu veux rester cette nuit… » proposa Severus à voix basse, en la fixant intensément.
Hermione mordilla sa lèvre inférieure, sans savoir quoi faire.
« Bien sûr » reprit Severus, « j’ai deux chambres, si c’est un problème pour toi… »
Elle secoua la tête. « Ce n’est pas ça.
-Alors, pourquoi hésites-tu ?
-Je n’hésite plus. Allons-y » répondit-elle avec un sourire.
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Hermione réalisa que ce qu’elle avait dit à Severus, sa chance de vivre à Paris, était en dessous de la vérité, quand elle entra chez lui. Elle n’aurait pas cru que Severus Snape vivrait dans un si bel appartement, avec ses grandes fenêtres et ses moulures aux murs.
« C’est… Magnifique » émit-elle difficilement avant de s’asseoir dans son canapé, regardant autour d’elle comme si elle ne voulait pas perdre une miette de sa décoration.
« Merci. Veux-tu boire quelque chose ? Un verre de vin, peut-être ?
-Oui, s’il te plaît. »
Après un signe de tête, Severus se dirigea vers sa cuisine et revint avec deux verres de vin.
« Dois-tu retourner à ton hôtel pour récupérer tes affaires ? » demanda-t-il.
« Non, je m’en suis déjà chargée ce matin. Tout est dans mon appartement de Londres.
-Et qu’en est-il de ta vie londonienne?
-Est-ce que ‘ennuyeuse’ est une réponse acceptable ? » répondit Hermione avec un sourire ironique.
« Cela peut l’être, mais je suis certain que tu peux faire bien mieux. Ennuyeux est un adjectif si simple.
-Très bien… En fait, c’est très différent d’ici, bien sûr. J’ai mes petites habitudes, mes lieux préférés, mes bars préférés… Donc bon, en fait, je mène une vie ennuyeuse » dit-elle joueuse.
« Une vie avec une femme telle que toi ne peut pas être ennuyeuse » rétorque Severus, d’une voix presque rauque.
Hermione remarqua que son attitude avait changé, et qu’il flirtait très ouvertement avec elle. Comme il le faisait avec cette autre femme ne put-elle s’empêcher de penser avant de reprendre une gorgée de vin.
« Le dis-tu à toutes les femmes ?
-Je te demande pardon ?
-Toute cette merde, tous ces trucs que tu me dis depuis hier. Disais-tu les mêmes choses à la belle Maîtresse des Potions avec qui tu étais à table ? »
Hermione faisait de son mieux pour rester calme, mais c’était difficile. Elle vit Severus soupirer avant de répondre.
« Ce n’est pas ce que tu penses. Je n’ai rien fait de mal avec cette femme. Oui, j’admets que j’ai trop bu de vin durant ce dîner, ce qui me rend généralement… Bavard. Mais crois-moi, notre discussion était loin de celles que nous avons partagées. »
Hermione plissa les lèvres, et plongea le regard dans son verre de vin.
« Tu es la seule femme à qui j’aie envie de faire l’amour, en ce moment même, Hermione » poursuivit-il, et Hermione sentit un frisson glisser le long de sa colonne vertébrale.
Ce qui arriva ensuite ne fut pas délibéré, en tout cas, c’est ce qu’elle s’en dirait le lendemain. Hermione posa rapidement son verre de vin sur la table basse et commença à répondre aux baisers de Severus, perdue sous la lenteur presque douloureuse de ses caresses. Il semblait souhaiter la rendre folle, et il y parvint presque. Mais malheureusement pour lui, il ne put résister plus longtemps, et s’enfonça dans son fourreau trempé, la coinçant dans le canapé. Son souffle, près de sa bouche, mélange de cigarette et de bon vin, fut suffisant pour lui faire perdre tout sens de la réalité, et ils ne s’embarrassèrent pas de se débarrasser entièrement de leurs vêtements. Tout ce qu’ils voulaient, c’était de prendre tout ce qu’ils pouvaient de l’autre, de se donner du plaisir pendant la majeure partie de la nuit.
Ils ne s’arrêtèrent pas avant que de longues heures soient écoulées, et c’est le corps courbaturé qu’Hermione finit par s’endormir, aux premières lueurs du jour.
Mais quand elle se réveilla, tard le lendemain matin, se fut pour croiser l’intense regard de Severus.
« Salut » murmura-t-elle, embarrassée de s’éveiller près de lui.
« Bonjour. »
Ils prirent un brunch ensemble, et Hermione put remarquer les solides talents culinaires de Severus.
« Je présume que c’est parce que la cuisine et les potions sont très proches » s’expliqua-t-il en terminant ses œufs brouillés.
« Eh bien, je suis Maîtresse des Potions moi-même, et je suis incapable de cuisiner quoi que ce soit, je suis donc navrée, mais votre argument est invalide. »
Severus sourit, et l’heure de partir arriva.
« Je serais restée plus longtemps… Mais j’ai des choses prévues ce soir » expliqua-t-elle, proche de la porte.
« Un rendez-vous avec un amant, peut-être ? » sourit Severus.
« J’ai déjà eu ce type de rendez-vous hier soir, sans parler du soir précédent » expira Hermione en fixant ses lèvres fines.
« Quelle femme chanceuse » marmonna l’homme de haute taille, face à elle.
« Je le suis… »
Ils restèrent silencieux quelques secondes, mais Hermione brisa l’instant inconfortable.
« Je me demandais… Si nous pourrions nous revoir bientôt ? » demanda-t-elle rapidement, comme si le dire vite l’aiderait à ne pas être honteuse de sa question.
« Nous vivons dans deux pays différents » déclara Severus, le visage indéchiffrable.
« Je le sais, mais Paris et Londres ne son pas loin l’un de l’autre, et…
-Je ne pense pas que ce soit une bonne idée » l’interrompit-il, et Hermione fronça les sourcils.
« Pourquoi pas ? Je veux dire, je suis célibataire, tu es célibataire…
-S’il te plaît, Hermione, nous savions tous deux que ce n’était que l’histoire de deux jours, pour nous distraire de ce séminaire ennuyeux. »
Hermione resta silencieuse, tentant de se rappeler de quand ils s’étaient mis d’accord là-dessus. Mais même si elle ne pouvait rien se rappeler à ce sujet, elle réalisa qu’elle n’en trouvait pas plus sur le contraire. Il n’avait pas joué avec elle, il avait juste présumé qu’elle savait quelle était la réelle nature de leur relation. Elle acquiesça lentement.
« Oui, bien sûr, je ne sais même pas pourquoi… Eh bien, oublie juste ce que je viens de dire » dit-elle avec un sourire forcé.
Severus l’examina intensément, mais finit par acquiescer.
« Fais attention à toi pendant le voyage » dit-il avant de l’embrasser lentement sur la joue.
« Ne t’inquiète pas pour moi » marmonna-t-elle avant d’ouvrir la porte pour partir.
« Miss Granger ? » dit-il alors qu’elle s’apprêtait à se diriger vers l’ascenseur.
Elle se tendit en l’entendant l’appeler par son nom de famille, mais elle se retourna pour entendre ce qu’il voulait dire, tandis qu’une étincelle d’espoir s’allumait dans sa poitrine.
« Oui ?
-Nous aurons toujours Paris » dit-il avec un sourire, avant de l’observer disparaître dans le couloir.
Une fois qu’elle fut hors de sa vue, il referma la porte derrière elle, et referma du même geste un chapitre de sa vie.
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Comme vous le voyez, l’histoire est terminée. Mais je pense que beaucoup d’entre vous ne seront pas satisfaites de cette fin. Si vous êtes suffisamment gentil(le)s, j’écrirais une suite, ou un épilogue… : )
Mais dites-moi, est-ce vraiment nul de partager avec vous le processus créatif de cette histoire ? Je veux dire, un guest m’a dit que ça brisait le rythme de dire ce dont parlait le chapitre suivant (et ce n’est pas un reproche, tout le monde peut avoir son avis, bien sûr), alors peut-être ai-je besoin d’arrêter de le faire et simplement répondre personnellement à vos reviews ? Je comprends très bien que vous puissiez vouloir lire uniquement l’histoire, sans vous soucier de mon blabla habituel : )
Peu importe. Jusqu’à la prochaine fois, plein de bisous à tous !
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Note de Nekozuni : roh, j’veux une suite !! J’aime beaucoup cette histoire, et ce méchant Sev’ qui la laisse partir là, rah ! Il mérite des claques tiens !
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Aë : Y a une suite ^^ Je la commencerai quand la VO sera terminée ^^
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Note de Sevy4eveR : Déjà fini ?! J’suis triste là…Bon, ok, la fin est un peu tristounette mais il n’empêche que c’était vraiment chouette cette petite virée à Paris !
C’était du bon boulot (mais ça tu l’sais, hein ^^) et une très jolie fic !
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Avec un soupir, elle sauta du lit et se décida pour une douche. Une douche froide. (Judicieux, en effet XD)
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Le séminaire de deux jours se concluait sur un dîner avec tous les Maîtres et Maîtresses des Potions, et cette fois, Severus et Hermione étaient à des tables différentes. Comme d’habitude, Hermione ne put penser à rien d’autre. (On la comprend, non ? ^^)
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Alors qu’il ne semblait pas avoir été intéressé cette première fois, les choses, ce soir, semblaient différentes. Severus, l’homme qui lui avait fait l’amour quelques heures seulement auparavant, souriait à l’autre, apparemment content de partager sa compagnie.
Il n’est pas à toi, se sermonna Hermione en terminant son verre de vin. (En effet, il est à moi, à moiii, à MOIIII… heu, hum,… désolée, me suis légèrement laissée emporter j’crois O_o) Aë : Je confirme ^^
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Depuis quand Severus Snape jouait les comiques, au nom de Merlin ? (Ben apparemment, depuis ce soir… ^^)
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« Tu es la seule femme à qui j’aie envie de faire l’amour, en ce moment même, Hermione » poursuivit-il, (*o*)
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Ils ne s’arrêtèrent pas avant que de longues heures soient écoulées, et c’est le corps courbaturé qu’Hermione finit par s’endormir, aux premières lueurs du jour. (Quel sportif, ce Severus..)
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Ils prirent un brunch ensemble, et Hermione put remarquer les solides talents culinaires de Severus. (Quand je dis que cet homme a tout pour lui ^^)
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Hermione resta silencieuse, tentant de se rappeler de quand ils s’étaient mis d’accord là-dessus. (Les hommes font souvent ça… décider pour tout le monde…)
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Une fois qu’elle fut hors de sa vue, il referma la porte derrière elle, et referma du même geste un chapitre de sa vie. (Oh naaaaaaaaaaaaaaaan… la fille trop déçue x) )
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