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les fanfics d'Aë

Les temps sont durs pour Severus Snape 7

29 Septembre 2016 , Rédigé par Aësälys Publié dans #Les temps sont durs pour Severus Snape

Chapitre 7 ~ Observation and Recherche .

Le Maître des Potions et Hermione sortirent des cachots pour rejoindre la Grande Salle, montèrent l’escalier et prirent les escaliers coulissants menant à l’étage accueillant la Salle sur Demande. Hermione devait marcher vite pour garder le rythme des foulées de Severus. Ils s’arrêtèrent devant un mur vide et attendirent. La porte de la pièce apparut. Le Maître des Potions la poussa pour l’ouvrir et la tint pour qu’Hermione l’y précède, avant de l’y suivre.

Hermione observa ce que la pièce avait produit. Elle était de taille relativement petite et toute de pierre. Sur le mur de droite se trouvaient deux porte-manteaux à trois crochets. Sur l’un se trouvaient une chemise blanche, un pantalon noir et un boxer de soie. L’autre était vide. Sur le mur du fond se trouvaient quatre chaînes de fer serties dans la pierre et munies de menottes, et entre elles, une chaise, également fixée au mur. Devant avait été placé un bureau scellé au sol et une chaise devant, également attachée à la pierre. La chaise affichait une large ceinture, de toute évidence destinée à être refermée autour de la taille assise sur le siège. Il y avait également une simple chaise de bois sur le côté du bureau.

Le bureau accueillait plumes, parchemins, pichet de jus de citrouille, verres et deux épais sandwiches. Hermione sentit son estomac gargouiller. Ils n’avaient pas déjeuné.

Le Professeur s’avança pour examiner les menottes. Il testa chacune par la force, puis observa longuement le siège. Satisfait, il revint au bureau, s’assit dans la chaise de bois, saisit un sandwich et regarda Hermione examiner le siège boulonné qu’elle était supposée occuper.

« Pourquoi pensez-vous qu’il y ait une ceinture, Professeur ? » demanda-t-elle, assise dans le siège et prit possession de l’autre sandwich. Il était rempli de jambon, de gruyère, de laitue et de tomate. Hermione mordit à pleines dents tandis que le Maître des Potions versait deux verres de jus de citrouille.

« Pour vous garder assise, de toute évidence » répondit le Maître des Potions en en prenant une gorgée en ramenant son regard sur elle. « J’espère sincèrement que vous êtes prête, Miss Granger. »

Hermione lui renvoya un regard tout aussi calculateur.

« Vous seriez surpris de ce à quoi je suis prête, Professeur » répliqua-t-elle, effrontée.

Le Maître des Potions laissa son regard pensif dériver lentement sur elle. Hermione se sentit échauffée sous son regard persistant. Elle eut l’impression que le Maître des Potions pouvait voir au travers de ses robes.

« Le croyez-vous, Miss Granger ? » ronronna-t-il, mordant dans son sandwich et mâchant lentement. Hermione se surprit à regarder sa bouche. Il avait une bouche très sensuelle, avec une lèvre inférieure un peu plus charnue que la supérieure. Il les pourlécha, brisant le sort.

« Miss Granger, à quel point êtes-vous prête à venir m’aider à développer une version viable de cette potion ? » l’interrogea-t-il tranquillement.

« J’irai jusqu’au bout, monsieur » répondit Hermione tandis que le Maître des Potions arquait un sourcil. Elle rougit en réalisant ce à quoi cela ressemblait.

« Je voulais dire que… » commença-t-elle.

« Il vous sera peut-être nécessaire d’aller jusque-là, Miss Granger » annonça Severus avant de dévorer le reste de son sandwich et de le faire passer avec le jus. Hermione se contenta de le regarder, son ventre comme empli d’insectes bourdonnants.

Une serviette en tissu se matérialisa sur la table, et il la saisit pour s’essuyer la bouche et les mains. La serviette disparut quand il la reposa sur l’assiette vide. Severus se renfonça dans son siège et observa Hermione terminer son repas. Elle était réellement devenue une jolie jeune femme. La sorcière avait également de l’esprit. Il appréciait l’esprit, et abhorrait les femmes qui se laissaient être maltraitées et manipulées par les hommes. Etrangement, il ne pouvait imaginer Hermione Granger laisser quiconque lui marcher dessus. Mais il pouvait l’imaginer se soumettre, en revanche. A la passion, en tout cas. Le Professeur ne réalisait pas la façon dont il la dévisageait alors qu’il s’imaginait paresseusement comment se serait de coucher avec elle. Ce ne fut que lorsqu’elle vira au cramoisi qu’il revint à lui et se racla la gorge.

« Avez-vous fini, Miss Granger ? » demanda-t-il. Elle acquiesça.

Le Maître des Potions se redressa et commença à déboutonner ses robes, ses longs doigts pâles ouvrant avec dextérité une attache après l’autre, ses yeux sombres posés sur la sorcière face à lui. Hermione observa Severus, hypnotisée, tandis que les vêtements cachés se dévoilaient de plus en plus. Il termina d’ouvrir ses robes, puis les fit glisser de ses épaules. Il portait une chemise blanche faite sur mesures et un très beau pantalon noir moulant. Le Professeur était fin, mais pas maigre, avec des épaules plus larges que ce qu’elle s’était initialement imaginé. Tout pris en considération, c’était plutôt un sorcier bien fait.

Le Professeur plissa les lèvres puis s’avança vers le porte-manteau vide pour y suspendre ses robes. Il plongea une main dans la poche et en sortit une bouteille de potion. Il se tourna vers Hermione.

« Miss Granger, si vous avez fini de me regarder bouche-bée, voudriez-vous bien m’assister ? » demanda-t-il en rejoignant le mur chargé de menottes pour s’asseoir sur la chaise.

Hermione se précipita pour lui prendre la bouteille et le regarder fermer les menottes autour de chacune de ses chevilles, puis de chacun de ses poignets. Le voir enchaîné l’excita un peu. Severus leva les yeux vers elle et elle le dévisagea, figée. Il était tenté de regarder dans son esprit. Il céda à la tentation et se vit menotté, mais debout et adossé au mur, les bras étendus de chaque côté. Hermione défaisait lentement sa chemise, la tirait de son pantalon et l’ouvrait largement, révélant son torse pâle. Elle se pencha en avant et fit courir sa langue sur son torse, puis commença à l’embrasser. Le Maître des Potions s’extirpa de son esprit. Ses pensées étaient si érotiques. Il se dit qu’il aimerait sentir sa langue et ses lèvres sur son corps. Il commença à durcir.

« Euh… Miss Granger… la potion ? » émit-il, l’arrachant à son fantasme.

« Oh… certainement, Professeur » dit-elle, ouvrant la bouteille et la lui tendant. Elle jeta un œil à sa montre pour noter l’heure.

Les chaînes attachées aux menottes cliquetèrent et s’ébranlèrent alors que le Maître des Potions amenait la potion à ses lèvres. Hermione regarda sa pomme d’Adam monter et redescendre alors qu’il buvait, se demandant quelle sensation elle aurait à presser ses lèvres contre elle alors qu’elle bougeait.

« Merde » pensa-t-elle en reprenant la bouteille au sorcier enchaîné. « On pourrait croire que j’ai pris cette potion, vu la teneur de mes pensées. »

Severus l’observa rester plantée sur place. Elle avait la mine froissée.

« Miss Granger, je souhaiterai me mettre hors de portée, à votre place. Allez vous attacher à la chaise et prenez des notes » lança-t-il, la voix un peu rauque, conscient que son membre enflait encore tandis qu’elle s’empressait d’obéir. Elle passa la ceinture autour de sa taille et la boucla. A cet instant, la boucle disparut et la ceinture devint lisse, sans moyen visible de l’ouvrir. Hermione la toucha d’un bout à l’autre. Non. Elle ne pouvait pas la retirer. Probablement pas avant la fin de l’expérience. En revanche, elle ne comprenait toujours pas pourquoi elle était attachée à la chaise.

Elle leva les yeux vers le Maître des Potions qui la regardait plutôt avec avidité.

« Tout va bien Professeur ? Pouvez-vous me dire ce que vous ressentez ? » lui demanda Hermione, plume à la main.

« Chaud » lança le Professeur, son regard noir étincelant. « Excité. Très excité. J’ai en ce moment même une érection conséquente. »

Hermione le prit en note, jetant un œil à sa montre pour ajouter l’heure.

« Je me sens assez en chaleur » reprit Severus. « Tout mon corps est enflammé par l’envie de copuler. »

Il fit courir un doigt sur son col. Il commençait à faire si chaud. Il défit un bouton. Puis un autre.

Hermione regarda à nouveau l’heure, l’inscrivit et ajouta ‘le Professeur ouvre sa chemise’.

Elle l’observa sortir sa chemise de son pantalon. Ses yeux noirs commençaient à étinceler. Hermione nota son observation puis observa son torse pâle. Il était fort et bien formé. Il affichait également des tablettes de chocolat. Elle n’aurait jamais imaginé cela. Elle vit le Maître des Potions lutter pour retirer sa chemise. Les menottes rendaient cela impossible. Finalement, il arracha violemment la chemise de son corps. Hermione eut le souffle coupé et nota.

Nu au-dessus de la taille, Severus se redressa, les yeux fixés sur la sorcière. Il s’avança jusqu’à ce que les chaînes ne l’en empêchent.

« Venez ici, Miss Granger » émit-il tranquillement, ses yeux noirs la transperçant.

Hermione l’inscrivit ainsi que l’heure puis répondit. « Même si je le voulais, Professeur, je ne pourrais pas. Je suis attachée à la chaise. » La façon dont il la regardait fit sombrer l’estomac de la jeune femme… droit entre ses cuisses. Il avait un volume massif dans son pantalon.

Le Professeur lui jeta un regard noir et lutta un peu contre les chaînes.

« Balivernes. Ordonnez à la Salle sur Demande de vous relâchez » lui siffla-t-il. « Ou de me relâcher. »

Hermione griffonna à nouveau.

« Je ne peux pas, Professeur. Vous devez rester attaché » répondit-elle doucement.

« Je dois vous avoir ! » s’enragea-t-il, s’acharnant contre les chaînes.

Merde.

Hermione nota sa réaction violente face à son refus. Elle décida de le presser pour avoir plus d’informations.

« Pourquoi, Professeur ? Pourquoi avez-vous besoin de m’avoir ? » demanda-t-elle.

« Je veux… j’ai besoin… de te baiser, Hermione. Je te veux sous moi, à crier mon nom » lâcha-t-il, la voix maintenant suppliante.

Hermione sentit un flot humidifier son entrecuisse tandis que le sorcier habituellement froid et discipliné tombait dans le sexuel. Maintenant, elle pensait savoir pourquoi elle était attachée. Pour l’empêcher de lui répondre au cas où il parviendrait à la convaincre de coucher avec lui. Mais elle était assez forte pour lui résister, même si son corps réagissait. Mais elle voulait tester sa théorie sur ses liens.

« Salle sur Demande, relâche-moi » déclara-t-elle à voix haute. Elle attendit. La ceinture resta autour d’elle. Elle sembla même se serrer un peu.

Soudainement, le Maître des Potions laissa échapper un rugissement, et s’acharna follement contre ses chaînes.

« RELÂCHE-MOI ! » hurla-t-il à la pièce tout en s’agitant en direction d’Hermione. La faim, dans son regard, était effrayante, mais excitante, et son corps s’agitait contre les chaînes, les faisant cliqueter, tentant de les arracher du mur dans son désir de l’avoir, elle.

Hermione écrivit tout, depuis son regard à ses mouvements fous. Le Maître des Potions s’enragea pendant un bon quart d’heure. Puis il cessa, le souffle court, le torse couvert de transpiration, ses longs cheveux cachant à moitié ses traits, son regard foudroyant Hermione. Il ressemblait à une belle et sauvage créature, ainsi dressé et haletant de ses exertions.

Hermione le regarda revenir à sa chaise et s’y assoir. Il baissa les yeux, ses cheveux formant un rideau lui camouflant ses traits. Il commença à défaire son pantalon. La main tremblant un peu, Hermione le prit en notes, gardant traces précises du temps passant. Le Professeur plongea une main dans son boxer de soie et en sortit la plus grande queue qu’Hermione ait jamais vue sur un homme. Elle était pâle, comme le reste de sa personne, la couleur fonçant sur la tête bulbeuse. Sa largeur était énorme, et sa longueur atteignait le milieu de ses cuisses. Les veines pulsaient le long de son membre à un rythme alarmant. Elle put voir un frémissement dans sa main pâle alors qu’il caressait gentiment son outil enflé, sa paume à demi ouverte glissant d’avant en arrière. Lentement, le Professeur leva la tête pour le regarder, ses yeux noirs chargés de luxure. Hermione eut l’impression de ne plus pouvoir respirer. Puis elle se souvint ce qu’elle était censée faire et griffonna une description de sa queue. Elle se demanda si elle était changée par magie.

« Non » croassa le Professeur. « Elle est toujours comme ça. »

Il était dans son esprit.

« Pensez à moi vous prenant, Hermione » lança le Maître des Potions, ses yeux ne quittant jamais son visage. « Offrez-moi l’un de vos délicieux fantasmes pour m’aider à me soulager. Je sais que vous en avez. Ouvrez votre esprit et autorisez-vous à voir ce qui pourrait être entre nous. »

Hermione rougit, mais ses yeux restèrent fixés sur ses mouvements alors qu’il caressait son membre.

« Tu trouves ma queue belle » soupira-t-il presque. « Je le vois dans ton esprit. »

Severus commença à accélérer le rythme de sa main.

« Tu pensais que quatre années d’université t’aideraient à te défaire de ton attirance pour ton ex-Maître des Potions. Quel échec. Tu m’as simplement repoussé au fond de ton esprit » émit-il, hypnotique. « Maintenant, la nature de mon travail t’a ouverte à la possibilité de ce que la femme pouvait faire, contrairement à l’élève. Finalement, Hermione… tu devras m’aider à tester cette potion quand nous l’aurons parfaite. Je l’utiliserai, mais je t’assure, sorcière… je n’en ai pas besoin pour toi. »

La main d’Hermione tremblait alors qu’elle notait avec exactitude ses paroles en sténographie, talent moldu qu’elle avait appris en cinquième année pour prendre en note les cours de son Professeur mot à mot. Elle trouvait cela difficile, écrire tout en le regardant caresser cette queue magnifique. Il devait pouvoir baiser, avec un engin pareil. Sa culotte était trempée.

« Oh, je sais baiser, Hermione. La conception de Potions n’est pas mon seul talent » dit-il. « J’aime tes pensées. Elles sont si curieuses. Tu voudrais que je satisfasse ta curiosité. Hier soir, tu as failli me laisser entrer. Tu voulais que je te prenne, mais étais effrayée. »

Hermione serra ses cuisses ensemble. Elle ignorait que ce serait ainsi.

« Tu me veux maintenant, n’est-ce pas ? » dit-il à voix basse, ses yeux noirs incandescent, son visage affichant un léger rictus. « Tu es intelligente. Trouve un moyen de nous soulager, et ta chatte caressera cette queue ‘magnifique’, à la place de ma main. Trouve un moyen, Hermione » souffla-t-il.

Hermione continua à écrire, sans lever les yeux vers lui… ne voulant pas qu’il voie ce qu’il causait en elle. La façon dont ses paroles l’affectaient, la tentant autant que son corps l’était.

« Mais je sais ce que tu ressens » siffla-t-il. « Tu veux être baisée par moi. Tu veux que je te domine, que je t’amène à l’orgasme, encore et encore. En fait, tu n’en es pas loin, et je ne t’ai pas même touchée. »

La main d’Hermione vacilla. Elle ne voulait pas écrire cela. Ce qu’il disait était vrai. Elle n’était pas là depuis une journée qu’elle haletait déjà. La sorcière secoua la tête, et écrivit tout de même. Elle faisait des recherches. C’était important.

« Hermione » gronda le Professeur alors que sa main accélérait sur son membre.

Elle ne répondit pas.

« Hermione ! » lui cria-t-il. Elle leva les yeux du parchemin.

« Dis-moi que tu veux que je te baise » souffla-t-il, des ruisselets de sueur glissant délicieusement entre ses pectoraux. « Dis-moi pour que je puisse finir. Je suis si proche. Si proche.

-Non, Professeur » répondit-elle faiblement. « Je ne vous dirai pas ça. »

Le visage de Severus se contracta.

« Pourquoi ? » demanda-t-il. « C’est la vérité. Je pensais les Gryffondors honnêtes. Je sais déjà que tu me veux. Je veux juste l’entendre. »

Hermione inscrivit la question et sa réponse.

« Non » expira-t-elle.

« SALOPERIE ! » rugit-il, bondissant de son siège pour la charger, pour mieux être stoppé par les chaînes, ses jambes cédant sous lui. Le Maître des Potions tomba lourdement sur le dos. Hermione tenta de se lever mais était toujours coincée en place. Elle l’observa, inquiète. Il avait chargé avec tant de force qu’Hermione craignait qu’il se soit disloqué les épaules.

Le Professeur resta là, sur le dos, le torse agité par sa respiration rapide. Puis il commença à trembler violemment, comme sous l’effet d’une crise.

« Professeur ! » s’écria Hermione, puis elle hurla à la pièce « Relâche-moi ! Relâche-moi, merde ! »

Mais sans effet. Elle resta assise là, horrifiée, alors que le Professeur commençait à crier. Mais elle se rappela qu’elle devait continuer à écrire et décrire ce qu’elle voyait, alors que Severus se tordait à terre, le dos arqué, chaque muscle de son corps bandé, puis semblant s’étirer hors de lui. Puis il commença à grandir, son corps fin se développant, enflant comme une espèce de ballon de baudruche. Elle entendit son pantalon se déchirer sous sa taille énorme, ainsi que son boxer de soie.

Merde. Il se transformait.

Les yeux d’Hermione s’écarquillèrent alors que la queue de Severus enflait jusqu’à atteindre la longueur d’un bras humain et la largeur d’une bouteille de deux litres, la tête rouge et étincelante plus large encore. (Hé ben !) La grosse brute de Maître des Potions s’était assise et tournée vers Hermione. Elle émit un cri. Il avait les traits d’un Neandertal. Un front bas et étendu, des sourcils broussailleux se connectant au centre, un visage large et anguleux et un menton avec fossette. Mais ce furent ses yeux qui l’effrayèrent le plus. Ils étaient rouge feu et étincelants.

Le Hyde-Severus se redressa et écarta ses cheveux de ses yeux d’une main énorme. Il devait faire au moins deux mètres cinquante. Hermione fixait le Professeur transformé, bouche-bée. S’il avait passé ses barrières, la veille, elle aurait plus que certainement été une femme morte. Il était impossible qu’elle puisse prendre cette queue massive. Il était vraiment bâti en incube.

Le sorcier lourdement métamorphosé examina la jeune femme, son énorme monstruosité de queue pointant droit sur elle. Le Hyde-Severus replia un doigt épais, de la taille d’une saucisse, en sa direction.

« Accio chatte » gronda-t-il.

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oOoOoOo

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Note de Ms-Figg : LOLOL. La vache, lorsque cette fin de chapitre m’est venue, j’ai explosé de rire. Heureusement, la SSD sait ce qui est nécessaire avant coup. La tentative de séduction du Professeur Snape sur Hermione était très bonne. Elle était aussi chaude qu’une femelle hippogriffe en pleine saison. Mais elle s’est maintenant bien calmée. Lol. Merci de reviewer.

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Note de Cricri: Shocked... Terrible ce cliff... Pauvre Mione... Ma Che passa? C'est effrayant... Que dire... La suuiiiiiite!!!!

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Note de Sockscranberries : Ah ah, j’avoue que le final de ce chapitre est pas mal xD Il n’y a qu’elle pour finir un chapitre comme ça ^^

Heureusement qu’Hermione est attachée n’empêche, elle aurait fait une bêtise sinon.

Au passage, je me demande, si elle couchait avec lui pendant qu’il est « séducteur » est-ce que cela empêcherait la transformation en Hyde-Severus ??

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Chapitre 7 ~ Observation and Recherche (Obviously !!) .

La chaise affichait une large ceinture, de toute évidence destinée à être refermée autour de la taille assise sur le siège. Il y avait également une simple chaise de bois sur le côté du bureau. (Ça fout les jetons... Une vraie salle de torture... Ça plairait à Rusard ce décor!!!)

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« Vous seriez surpris de ce à quoi je suis prête, Professeur » répliqua-t-elle, effrontée. (Huuum intéressant ^^)

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« Il vous sera peut-être nécessaire d’aller jusque-là, Miss Granger » (Comme c’est pratique ^^)

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Mais il pouvait l’imaginer se soumettre, en revanche. (Ahlala, les fantasmes masculins… ^^)

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En revanche, elle ne comprenait toujours pas pourquoi elle était attachée à la chaise. (Moi je flipperai hein…)

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« Venez ici, Miss Granger » émit-il tranquillement, ses yeux noirs la transperçant. (Voilà pourquoi elle est attachée ^^)

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« Je dois vous avoir ! » s’enragea-t-il, s’acharnant contre les chaînes. (Grrr)

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Maintenant, elle pensait savoir pourquoi elle était attachée. (Tiens, elle percute ^^)

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exertions. Aë : pourtant le mot existe en français depuis le XIXe >< (yes... But it's very very rare!!!)

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tu devras m’aider à tester cette potion quand nous l’aurons parfaite. Je l’utiliserai, mais je t’assure, sorcière… je n’en ai pas besoin pour toi. » (Pff cet homme sait comment séduire)

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la tête rouge et étincelante plus large encore. (Hé ben !)

Les temps sont durs pour Severus Snape 7
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B
*Vous trouvez pas qu'il fait chaud ?*<br /> Oups, la fin, ça calme...
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A
XD
A
La douche froide que je me suis ramassée après la transformation mouhahhaha.<br /> <br /> Espérons que cet effet soit annihilé lol.<br /> <br /> Thanks !
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A
XD
E
C'est assez effrayant ce qui arrive dans ce chapitre. J'ai peur pour la suite. Merci pour ta trad !
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A
pas d'inquiétude ^^
N
Aie ! J'espère que le "accio chatte" ne marchera pas plus que les autres demandes, sinon elle est mal...!<br /> Merci Aë... bises.
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A
hohoho ^^'
C
Eeehhh ben... Hyde-Severus, je ne sais même pas quoi dire... pour le coup je suis entre le sourire et , je ne sais même pas trop quoi d'ailleurs... Curieuse de la suite ! Merci Aë
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A
XD