Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
les fanfics d'Aë

Son sale petit secret 5

28 Juin 2016 , Rédigé par Aësälys Publié dans #Son sale petit secret (C)

Chapitre 5

.

« Au nom de Merlin, que pensiez-vous être en train de faire ! »

Severus fit claquer l’édition du matin de la Gazette sur sa table de cuisine.

Hermione leva ses yeux bouffis de son thé. Il était froid. Elle détacha ses mains de sa tasse pour la poser. Depuis quand était-elle assise à cette table ? Elle baissa les yeux sur sa robe froissée. Oh, toute la nuit.

« C’était la potion. » C’était l’excuse qui se répétait en boucle dans son esprit depuis des heures. Celle qu’elle annoncerait s’il lui adressait un jour à nouveau la parole.

Et il était là, dans la lumière éclatante de sa cuisine. Elle le dévisagea, peinée par la colère qu’elle voyait dans son regard et dans la dure ligne de sa mâchoire. Elle baissa les yeux sur son thé froid, n’y voyant qu’eau et lait. Elle avait oublié de faire tremper les feuilles.

« Aviez-vous prévu de me ridiculiser ? » Sa paume claqua sur la table. « La potion –quelque chose concocté par Nodawl Zonko pour compromettre George Weasley- durait cinq minutes. Seulement cinq. Une concoction de compulsion forçant le buveur à admettre un embarras de jeunesse. » Ses yeux sombres se plissèrent. « Je vous ai vu boire cul-sec le verre et filer. Elle aurait dû perdre tout effet avant que vous n’atteigniez le hall d’entrée. Vous avez mal joué, Miss Granger. »

Hermione se tassa sur place face à sa fureur. Oh, Merlin, sa déclaration avait tout empiré… « Je suis désolée. » Elle plongea une main dans ses cheveux fous, et elle s’y crispa. « Merci de vous excuser à Mrs Smythe pour moi. » Elle regarda enfin le journal et un grognement lui échappa.

Les amants secrets révélés ! Severus Snape rejette Hermione Granger !

Et sous ce grand titre explosif se trouvait une photo d’elle, brisée, décharnée et pleine de larmes, et Severus s’écartait de son contact. Encore. Et encore.

Elle repoussa le journal et se redressa, vacillant en arrière sur les jupons de sa robe. Elle s’effondra sur son canapé. « Laisse-moi seule, Severus.

-Qu’en est-il de ta précieuse réputation, à présent ? »

Sa voix soyeuse s’enroula autour du mot, et Hermione ferma les yeux.

« Devrais-je lire l’article ? Celui que tout le monde a découvert au réveil ? Personne ne vous a vu inguriter la potion. Ils croiront votre confession réelle. » Il lâcha le mot et le cœur d’Hermione se serra douloureusement.

Il y eut un froissement de papier alors qu’il saisissait la Gazette du coin où elle avait atterri. « ‘Nous pouvons raconter le retournement de situation explosif ayant eu lieu au bal anniversaire d’hier soir. Mieux encore que les boissons piégées –ce qui, d’après notre contact, est en cours d’enquête- nous avons eu le droit à la révélation d’une relation clandestine.

« ‘Hermione Granger, précédemment vue, il y a quinze jours, au bras de Carlos Dias-Garcia, le beau dragonologue espagnol, et avec qui, d’après la rumeur, elle entretenait une aventure torride…’ »

Hermione grimaça. Sa voix dégoulinait de dédain.

« ‘…a été rejetée par nul autre que l’ancien Mangemort Severus Snape.’ » Il s’interrompit et Hermione inspira, attendant qu’il reprenne. Ses larmes affluèrent et elle les laissa couler. « ‘En un geste choquant –mais, les témoins insistent, pas poussé par le punch piégé- Hermione Granger a déclaré son amour au sombre sorcier. Celui qui est à présent son ancien amant, Mr Diaz-Garcia, est resté abasourdi, dans la foule entourant le duo.

« ‘ « Quelle ait pu le préférer à moi est inimaginable. Cela ne peut être que la potion. » L’hispanique a alors marqué une pause, et une faible lueur de défaite est passée dans ses beaux yeux. « Enfin, si j’ai réellement perdu son cœur, alors bien sûr je la laisse aller. Ah, mi guerida… »’

-Arrête, s’il te plaît. » Hermione enfouit les talons de ses paumes contre ses yeux. « Je ne l’ai jamais aimé. Jamais. Ce crétin pompeux.

-Tu nous rejettes si facilement. »

Hermione lui jeta un regard noir. « Toi, jamais. »

Severus eut un petit rire amer. « Tu m’as rejeté chaque jour. Je n’étais jamais assez bon. Oh, ma queue l’était. Mais pas le reste de ma personne.

-Severus… »

Il se passa une main dans les cheveux. « Je l’ai entendu, Hermione. » Sa voix était rauque, douloureuse. « Ce samedi matin. Le chemin de Traverse. Il se vantait à un de ses acolytes, au Chaudron Baveur, de la manière dont il t’avait baisée. Prise contre le mur comme une pute de l’Allée des Embrumes. Enculée dans ton lit. Comment il t’avait sautée à cette saloperie de réception. »

Elle le dévisagea. Elle en restait bouche bée. Sa voix ne lui avait jamais semblé si insignifiante. « Je n’ai jamais été avec quelqu’un d’autre que toi. » Elle pressa ses doigts sur ses lèvres. « Jamais.

-Ne me mens pas. J’ai vu le calcul dans tes yeux.

-Bêtement, j’y ai pensé. Une fois. » Il grommela et se détourna d’elle, et plus de larmes coulèrent. Que pouvait-elle perdre en étant totalement honnête ? Il l’avait déjà quittée. « Je pensais que la façon dont j’apparaissais en public était importante. La personne avec qui j’étais. » Elle balaya l’air de ses mains. « Car j’étais une née-moldue influente, la grande Hermione Granger. Mais personne ne se soucie de moi au Ministère. Ni d’avec qui je suis. Ni de ce que je dis. J’étais juste un trophée. »

Hermione soupira longuement. « J’étais idiote et je t’ai perdu pour ça… » Elle secoua la tête. « Je ne pourrais jamais compenser ce que je t’ai fait subir, Severus. A quel point j’ai été égoïste. Jamais. Je sais que nous ne pourrons plus jamais être amis. Je… » Elle déglutit et essuya son visage. Je te souhaite tout le Bonheur du monde avec celle qui en vaudra le coup. »

Sa voix était à peine plus qu’un murmure. « C’était censé être toi. »

Un rire amer lui échappa. « Je suis la dernière des garces. Ne perds pas ton temps avec moi, Severus Snape. »

Il se frotta le visage et son épuisement la frappa. Une chose qu’il avait dite lui revint. Il connaissait les caractéristiques de la potion. Merlin, il avait été debout toute la nuit pour l’identifier et innocenter George Weasley.

« Rentre chez toi et retrouve ton lit, Severus. Dors un peu. » Elle se hissa sur ses pieds, ne sachant que trop bien que c’était leurs derniers instants ensemble. Elle effaça la distance entre eux.

Son regard sombre se fixa sur elle et son cœur s’arrêta. Elle tendit la main, prête à ce qu’il ne tressaille, mais ses doigts rencontrèrent sa mâchoire. Elle caressa sa peau pâle, sentant sa barbe naissante. Cela fit apparaître le premier sourire sincère sur son visage depuis des semaines.

« J’ai été idiote de gâcher et perdre ton amour. »

Avec un soupir, ses doigts se replièrent… mais il saisit son poignet. Ses yeux sombres la fixaient, plissés.

« Jamais avec lui ? Pas même un baiser ? »

Elle secoua la tête. « Il voulait… » Elle frissonna. « Non. » Un sourire timide étira sa bouche. « Et même s’il n’y avait pas eu quelque chose de distinctement puant chez lui en fin de soirée, c’était juste… non.

-Et les autres ? »

Elle grimaça. Ils formaient un vrai troupeau, pas vrai ? Ce qu’elle avait été naze. « Non. » Elle secoua la tête, sans parvenir à croiser son regard. « En dehors des baisemains contre mes doigts. » Elle ferma les yeux. « Je suis désolée, Severus. Je ne sais pas à quoi je pensais. Pourquoi je n’étais pas honorée d’être à tes côtés. N’importe où. N’importe quand.

-Et maintenant, tout le monde sait que je t’ai eue. »

Sa voix était basse et rauque, et elle haussa des épaules, un grognement passant dans sa réponse. « Je m’en fiche. Je vais envoyer la Gazette d’aujourd’hui à tout le Chemin de Traverse ! Je n’aurais pas dû m’en soucier avant. » Elle soupira. « Maintenant, je m’inquiète juste que ma tentative de… m’expliquer ait donné aux autres l’occasion de te railler. Et j’en suis navrée. »

Il relâcha son poignet et elle regretta son contact calleux. Elle recula d’un pas, mais il la suivit jusqu’à ce qu’ils ne soient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Elle risqua un coup d’œil, vers son visage ciselé par les ombres. Ses mains se serrèrent en poings, ses ongles mordant ses paumes. « Severus… ?

-L’amour a toujours fait de moi son bouffon. »

Il saisit sa mâchoire de sa main délicieusement chaude et les lèvres d’Hermione s’entrouvrirent sous le choc de son contact… avant que sa bouche ne plonge sur la sienne. La gentillesse, le feu maîtrisé, la douce caresse de ses lèvres si désirées lui arrachèrent un gémissement. Merlin, il l’embrassait. L’embrassait, elle.

Elle vacilla en arrière et agita les bras, paniquée et fébrile. « Non. Non, tu peux pas. M’embrasser. Je suis une fille horrible. Je suis égoïste. Et une vraie garce. Je…

-Hermione…

-Et tu es un homme merveilleux et désintéressé. Tu mérites l’équivalent de, eh bien, toi. Pas moi. Je suis ignoble. »

Un sourire étira sa bouche et son amusement éclaira brièvement son regard sombre. « Promets-tu de quitter cet appartement avec moi ? De t’asseoir dans un café ou un restaurant avec moi ? » Son sourire devint désabusé. « Je ne suis pas l’homme le plus sociable qui soit, mais m’accompagneras-tu à toute soirée, réception ou bal que je devrais subir ? » Son regard s’adoucit, et quelque chose de douloureux passa dans ses ténèbres. Sa voix était douce. « Et si non, iras-tu avec un groupe d’amis ? »

Oh, bon sang, est-ce… qu’il voulait qu’elle revienne ? Vraiment ? Mais ce bref aperçu de sa douleur la poignardait en plein cœur et sa bouche s’ouvrit avant qu’elle le réalise. « Je serais une vraie sangsue. Tu devras me retirer à la pince à épiler. Je vais porter un panneau clignotant et un t-shirt. » Elle secoua la tête. « Non, c’est trop moldu. Enfin, quelque soit l’équivalent sorcier, je le porterai. »

Hermione se passa les mains dans les cheveux et les ramassa au creux de sa nuque. Son rythme était désordonné, ses pensées en vrac. Que lui arrivait-il ? Son esprit n’était plus qu’un joyeux foutoir. Elle devait se tromper. Elle l’avait blessé… si méchamment. Il ne pouvait la reprendre. Il ne le pouvait pas. « Mais… mais ça n’arrive pas, si ? Parce que tu as la parfaite Mrs Smythe, maintenant. Désolée. Désolée. Je suis sûre qu’elle est super. Et adorable. Et pas une garce… »

Severus l’attira contre son torse et passa ses bras autour d’elle.

Elle s’accrocha à lui et sanglota. « Je t’aime. Tellement. Merlin, Severus… » Elle inspira difficilement. « Comment peux-tu me pardonner ?

-Car je t’aime, moi aussi. »

Et puis il l’embrassa et tout, tout fut à nouveau parfait. Il s’écarta, et son regard était si chaleureux et si… familier. Plus de larmes s’échappèrent des yeux d’Hermione. L’avait-il toujours regardée ainsi ?

« Je ne pensais pas que ça comptait. Au début. » Severus essuya les larmes inondant ses joues et un sourire ironique se forma sur ses lèvres alors qu’elle reniflait. Il lui tendit un mouchoir. « Tu dois avoir des connexions pour construire ta carrière. Et je ne suis pas sociable.

-Même cette excuse n’était pas valable. J’aurais dû… »

Il pressa un doigt sur ses lèvres et elle poussa un petit cri. Ses yeux se fermèrent. Si désiré. Nécessaire.

« Tu étais… mienne. » Il inspira profondément et Hermione eut envie de l’enlacer, lui offrir tout son réconfort. « Mais pour ta socialisation, tes requêtes » il cracha le mot et Hermione grimaça, « ont commencé à ronger cette sûreté. Tu es une force de la nature, sorcière. Pourquoi voudrais-tu être avec moi ? Et puis il y a eu Carlos. Je pensais t’avoir perdue.

-Jamais. Je t’ai cru acquis. Cru que tu serais toujours là. » Elle secoua la tête. Aussi atroce que ça ait été –et tu peux te satisfaire du fait atroce sans toi, Severus- ça m’a fait voir combien j’avais besoin de toi. Combien je t’aime. »

Il l’attira contre lui et elle s’accrocha à nouveau à lui. La force solide et la chaleur de son corps. Là, avec elle. Pour elle. Non, elle ne le prendrait plus jamais pour acquis.

« Ca a été un choc » murmura-t-il contre ses cheveux emmêlés. « Entendre devant tout le monde que tu m’aimais. J’ai vraiment cru que tu te moquais… Mais Merlin, tes yeux, Hermione. Tu étais… brisée. » Il resserra ses bras autour d’elle et elle lui rendit férocement son étreinte. « J’ai été poussé dans l’enquête sur la potion, quand tout ce que je voulais faire était me ruer ici et te confronter. Voir si je pouvais espérer… » Il embrassa son front, et une onde de chaleur emplit sa poitrine sous la courbe de son sourire. Le fait qu’il s’ouvre à elle était plus que ce qu’elle pouvait demander. Plus que ce qu’elle méritait… « Et maintenant, je peux faire plus encore. »

Il se recula et écarta la folie qu’étaient ses cheveux de son visage. « Tu es dans un drôle d’état, petite sorcière. Lave-toi, brosse tes dents, déshabille-toi et au lit. » Il prit sa main et la mena comme une enfant dans la salle de bain. Il fronça des sourcils en voyant sa brosse à dent maintenue contre le mur carrelé dans un halo de lumière dorée. « Tu as fait un autel. Avec ma brosse à dent. »

Hermione n’avait pas l’intention de s’en excuser. « C’était la seule chose de toi que j’avais. » Elle l’avait douloureusement réalisé ce samedi, quand elle s’était enfin arrachée à son lit. Comment elle l’avait si peu laissé s’installer dans sa vie, tout en attendant tant de sa part.

Il déposa un nouveau baiser sur son front et ses yeux se fermèrent alors qu’elle se lovait dans son affection. « Etrange petite sorcière.

-Ton étrange petite sorcière ? » Elle retint sa respiration, les yeux fixés sur lui, son cœur coincé dans la gorge. Etaient-ils correctement ensemble ? Elle voulait tout, maintenant… mais Severus avait tous les pouvoirs.

« Angela est mon amie. Et une vieille amie. Il n’y a jamais rien eu de plus. » Son regard était ferme. Sérieux. « Je n’ai pas couché avec elle. »

Hermione ferma les yeux et ravala son couinement douloureux.

« Tiens. » Severus lui offrit une serviette chaude et sentant bon le propre. « Tu n’as pas pris soin de toi, Hermione. »

Elle secoua la tête, et bientôt, elle fut propre et prête à aller se coucher. D’un mouvement de baguette, Severus changea ses draps. Son lit aussi était un autel. Elle soupira alors qu’elle se glissait, nue, entre les draps de coton frais. Il la désirait. Il était de nouveau avec elle. Et elle dirait aux étrangers dans la rue que…

Hermione couina lorsque son long et chaud corps nu se pressa dans son dos. Il la lova dans ses bras, glissant une longue cuisse entre les siennes. « Je pensais que tu y allais. Tu n’es jamais resté dormir.

-Je trouve ton lit parfaitement acceptable. Pourquoi ne pas en profiter ? »

Elle déposa un baiser sur ses doigts et s’installa contre son corps. « Je pense qu’après un bon repos, nous pourrions sortir déjeuner. Qu’en dis-tu ? »

Sa réponse fut un souffle d’air. Severus était déjà endormi.

.

.

oOoOoOo

.

.

Note de IShouldBeWrittingSomethingElse : Plus qu’un chapitre à venir !

Oh, et j’ai donné un prénom à Mr Zonko, puisque je ne lui en ai pas trouvé d’existant…

.

Note de Edhil Morgùl : Enfin, enfin la réconciliation que j'attendais avec impatience. J'aime ce Severus, tellement.

.

Note d’Allersia : C’est en souriant que je termine la lecture de ce chap. Après la souffrance de Hermione des premiers chapitres, ça fait du bien de les savoir heureux !

.

.

Depuis quand était-elle assise à cette table ? Elle baissa les yeux sur sa robe froissée. Oh, toute la nuit. (Il est déjà là ???!!! Enfin, c’est plutôt bien, vaut mieux la colère que l’ignorance)

.

« Je vous ai vu boire cul-sec le verre et filer. Elle aurait dû perdre tout effet avant que vous n’atteigniez le hall d’entrée. Vous avez mal joué, Miss Granger. » (OH ! Ce n’est pas la potion… Hmmm intéressant !)

.

« ‘Nous pouvons raconter le retournement de situation explosif ayant eu lieu au bal anniversaire d’hier soir. Mieux encore que les boissons piégées –ce qui, d’après notre contact, est en cours d’enquête- nous avons eu le droit à la révélation d’une relation clandestine. (Ca sent mauvais cet article !)

.

-Tu nous rejettes si facilement. » (ouch !)

Hermione lui jeta un regard noir. « Toi, jamais. »

Severus eut un petit rire amer. « Tu m’as rejeté chaque jour. Je n’étais jamais assez bon. Oh, ma queue l’était. Mais pas le reste de ma personne. (re-ouch !)

.

Il se vantait à un de ses acolytes, au Chaudron Baveur, de la manière dont il t’avait baisée. Prise contre le mur comme une pute de l’Allée des Embrumes. Enculée dans ton lit. Comment il t’avait sautée à cette saloperie de réception. » (Mais mais mais !!!! Quel … erf, ce serait trop vulgaire, mais c’est vraiment un … bref !)

.

Sa voix était à peine plus qu’un murmure. « C’était censé être toi. » (ohhhhhhhhhhhhhh !!! C’est le truc le plus mignon qu’il ait jamais dit dans une fic)

.

« En dehors des baisemains contre mes doigts. » (remarque inutile, j'aime en faire, s'ils ont touchés ses doigts ils ne savent pas faire de baisemain les malotrus :P). Aë : Exactement !!! Le vrai baisemain se passe de bave !

.

« Maintenant, je m’inquiète juste que ma tentative de… m’expliquer ait donné aux autres l’occasion de te railler. Et j’en suis navrée. » (Y a une ouverture là, je n’hallucine pas ? Ça sent la happy-end XD !!!)

.

La gentillesse, le feu maîtrisé, la douce caresse de ses lèvres si désirées lui arrachèrent un gémissement. Merlin, il l’embrassait. L’embrassait, elle. (Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!)

Son sale petit secret 5
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
M
En fait l'acool à aider plus ou moins a se retrouver c'est mignon
Répondre
A
moui...
D
J'ai adoré cette petite fic. J'ai eu de la peine pour ces deux là. Mais heureusement ça fini bien
Répondre
A
il reste un chapitre!!!
N
Fleur bleue mais mon coeur de midinette adore !! Donc il reste un chapitre ?
Répondre
A
^^
D
Chic :) Moi ? A l'ouest ? XD Cours se cacher*
A
yep ^^
N
Pfiouuuu ! J'en ai la chair de poule... Quel amour ! Moi qui suis très fleur bleue, cette suite me convient parfaitement. Merci Aë.
Répondre
A
je t'en prie!
Z
Ouf ! L'explication n'a pas tourné à la tempête, mais à la réconciliation. Merci pour cette suite !
Répondre
A
je t'en prie ^^