Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
les fanfics d'Aë

GHL4 Mission: Get Hermione Laid 4-5

9 Décembre 2014 , Rédigé par Aësälys Publié dans #GHL (C)

Mission: fausse bannière

.

Tonks est étendue sur le sol près des pieds de Remus, un sourire crétin sur les lèvres alors qu’il caresse un de ses seins; elle a l’air d’un chat repu. Je pense qu’elle doit être saoule du contenu de trop de pions. Je peux pas m’en plaindre : les doigts de Severus taquinent maintenant doucement l’intérieur de mes cuisses, le souffle court contre mon oreille, son torse se pressant à chaque inspiration contre mon dos.

Je jette un regard endormi à Lupin et le découvre en train de me fixer, un air de profonde réflexion au visage. Il baisse les yeux sur Tonks, un petit sourire se forme sur ses lèvres, avant qu’il ne dise « C’est ton tour, Hermione. »

Mon tour…

Oh, mon tour! On joue aux échecs! J’ai été distraite, mais on peut pas me le reprocher!

Je me penche en avant, mais les bras de Severus s’enroulent autour de mon corps, me ramenant contre sa chaleur, sa main presse ma baguette entre mes doigts avant de les refermer sur elle. Ses cuisses sont chaudes sous moi, et franchement je suis d’accord : je préférerais ne pas quitter ce sanctuaire pour l’instant.

« Ne prends pas leur reine » murmure Severus à mon oreille.

Ne pas prendre leur reine ? Elle est allongée là, totalement exposée, agitant une jambe pâle à escarpin rouge vers moi, provocante. Bordel, mais qu’est-ce qu’il raconte ?

« La reine… Elle te fait gagner un rapport avec un membre de l’équipe opposée… » Ses mots sortent comme s’ils devaient m’amener quelque chose.

Oh. Hein?

Peu importe. Je prends leur pion à la place. Je ne vais pas embêter Severus quand son corps délicieux m’enlace ainsi. « Vire ton boxer, Remus. »

Remus tente d’attirer l’attention de Tonks, mais ses yeux sont à demi clos et elle ne semble pas d’humeur à bouger. Avec un haussement d’épaules, Remus retire son boxer, et le place par terre. Tonks le remarque enfin, lui sourit paresseusement, mais c’est tout. Je pense qu’on va vite la perdre.

« Je pense que c’est ton tour, Nymphadora lance Severus contre ma nuque, et ses lèvres reviennent pour taquiner ma peau. Je pense que je peux le sentir sourire, probablement parce qu’il espère la voir réagir à l’utilisation de son prénom. Mais ça ne marche pas.

Tonks relève les yeux, regarde vaguement Severus, puis fait lentement son coup : encore un autre pion. « Chemise, Snape. »

Tant pis pour Tonks, moi je suis prête à quelques rounds supplémentaires !

Severus soupire, et je me penche pour le laisser se déshabiller, mais il me ramène immédiatement vers lui, et se contente de la faire disparaître d’un coup de baguette, puis, faisant tourner l’objet entre ses doigts tout en examinant notre prochain mouvement, il fait enfin glisser notre reine en avant pour prendre un pion. Il regarde Remus, totalement nu, puis son regard passe sur Tonks, qui n’a plus que sa jupe. « Retire-la, Nymphadora. »

Et cette fois, il n’y eut aucune réaction à son prénom. Tonks fait glisser sa jupe au bas de ses jambes avec beaucoup de mal, la relève de manière vraiment pas sexy et la place sous sa tête pour lui servir d’oreiller.

« C’est l’heure de dormir, on dirait » dit Remus en caressant ses cheveux ébouriffés.

Tonks acquiesce d’un grognement.

« On dirait que vous ne tenez pas la longueur, tous les deux. » Severus semble totalement satisfait de cet arrangement.

Avec une étincelle dans l’œil, Remus joue son tour. Notre cavalier, c’est de l’histoire ancienne, il crie comme une furie tout en se faisant massacrer.

« Je reviens pour profiter de celui-là » lâche Remus avec un sourire en coin, avant de se pencher pour ramasser une Tonks maintenant inconsciente et de la porter dans une des pièces de côté.

« Tu sais » murmure Severus à mon oreille, ses doigts remontant dangereusement sur ma cuisse, « nous pourrions partir maintenant. Je pourrais te ramener jusqu’à… »

Mais je ne saurai jamais où Severus veut m’emmener, parce qu’au même instant, la porte d’entrée s’ouvre brusquement.

« Bordel de merde ! J’ai eu du bol d’arriver là en un morceau ! » Sirius, un sourire scotché au visage, examine la pièce, et pose finalement les yeux sur Severus et moi. « Jolie jupe, Mione. »

Je rougis, réalisant ce à quoi ça doit ressembler, avec lui entrant pour nous découvrir vautrés et pratiquement à poil. Eh bien, totalement à poil, si on ne compte pas la dite jupe enroulée sur mes cuisses.

Sirius rit. « Pas besoin de demander pourquoi vous êtes à poil, mais sérieux, ils sont où, tous les autres ?

-Il n’y a pas de ‘tous les autres’ » répond Remus dans l’encadrement de la porte. « Ca a un peu raté, en fait. Tonks… »

Severus interrompt le petit discours de Remus. « Tonks jouait aux échecs version sorcière avec nous, mais il semblerait qu’elle ne tient pas la boisson. Alors, Hermione et moi allions partir. » Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et le découvre observant pensivement ses vêtements, au bout du canapé. Il tend la main pour attraper sa baguette. Attendez une seconde… ‘Hermione et moi allions partir’ ? Mais je viens de trouver un nouveau joujou !

« Merlin, Snape, t’es vraiment chiant! Sois pas si pressé… Je prends la place de Tonks. » Sirius s’agite autour de l’échiquier comme un chiot enthousiaste. Apparemment, être coincé quelques temps avec des chiens finit par déteindre, côté exubérance.

Je jette un coup d’œil à Remus. Avec un peu de chance, c’est mon sauveur… Je veux pas partir, pas maintenant !

« Je m’en contrefous » lâche-t-il avec un haussement d’épaules, « mais je compte bien profiter de ma dernière pièce avant que qui que ce soit s’en aille. » Il me surprend. Ce n’est pas le même Remus qu’il y a quelques mois; ce Remus-là n’aurait sûrement pas donné d’ordre. Peut-être que c’est parce qu’il est proche de la pleine lune, peut-être qu’il est juste capable de se détendre en ma compagnie, maintenant. Je ne suis pas sûre que ça compte, parce que l’idée de la bouche de Remus sur moi… Merlin.

« Severus ? » je demande, espérant qu’il change d’avis, et qu’il va rester. Parce que quand on en vient à ça, ça vaut carrément mieux avec que sans. En fait, je ne suis pas sûre de rester. Il va falloir que je me pose à un moment ou à un autre pour y réfléchir comme il faut, voir ce que ça veut dire, mais maintenant, je suis plus inquiète par l’idée de manquer les réjouissances de la soirée.

« Professeur Snape » me corrige-t-il paresseusement. « Tout ce que vous voudrez, Miss Granger. » Ses paroles sont peut-être lâchées avec légèreté, mais il ne semble pas très content, en tout cas c’est ce que je comprends de la manière dont il a soudainement changé de place, le dos à présent tendu, ses mains écartées de mes cuisses et reposant sur le canapé.

« Vraiment ? » j’insiste, lui donnant la chance d’ajouter son habituel ‘mais’ ou, Merlin l’en empêche, de me dire ce qu’il sous-entend vraiment.

« Ne m’interrogez pas. » Eh bien, c’était productif. Ok, le Snape sarcastique, ça me fait un frisson assez délicieux. Le défi de le faire s’amuser –ou peut-être de m’amuser ?

Je me retourne pour l’observer, tentant de comprendre. C’est dur à dire, trop d’années en tant qu’espion et il n’y a plus aucune émotion qui transparaît sur son visage. Mes yeux dérivent sur ses lèvres, et je me sens pourlécher inconsciemment les miennes. Ca semble relancer sa voix.

« Je serai… Très heureux de vous faire plaisir, Hermione, tant que vous serez heureuse d’en faire de même pour moi… Plus tard. » Il y a une étincelle dans son regard qui m’attire et me fait peur à la fois.

Je n’ose pas penser à ce que ça peut signifier, mais la manière dont il dit ça ne me fait pas croire que je dois avoir peur. Croire peut être dangereux. « Ok. »

Avant que je ne puisse me retourner, les doigts de Remus sont sur mes genoux, et écartent plus largement mes cuisses ; les genoux de Severus, entre les miens, l’aident, m’écartant plus encore, m’exposant à lui. Légèrement surprise par la soudaine volonté de Severus de partager, je baisse les yeux sur Remus, qui vient de passer un coup de langue rapide sur mon clitoris. Il me fait bondir sous ce délicieux choc. Un bas sifflement s’échappe de ma gorge. Oh oui, c’était la bonne décision.

Les mains de Severus remontent sur mes cuisses, atteignent mes plis, et il fait glisser ses doigts entre eux, les ouvrant doucement pour m’exposer plus encore à Remus. J’ai l’impression d’être en feu, calée contre le torse de Severus, sa peau chaude et humide de sueur contre la mienne. Et il sent merveilleusement bon, son odeur m’entoure… Du musc masculin de sueur et de sexe. Les doigts de Remus continuent à taquiner l’intérieur de mes cuisses et mon corps est plus que conscient de chacun de leurs mouvements.

Je m’oblige à regarder Sirius, qui se tient là avec une lueur malicieuse dans le regard.

« Tu sais » je parviens à dire, me sentant impétueuse. « Tonks était complètement nue. »

Sirius me sourit. « Alors tu as raison, Mione, ce n’est que justice… »

Et alors que la langue de Remus réapparaît et passe un bon coup sur mon clitoris, j’ai la très appréciable vue de Sirius faisant passer son t-shirt par-dessus sa tête. Le torse de Sirius est un sacré miracle, sérieusement. Il n’est pas aussi grand que Severus, mais il est vraiment plus musculeux. Il est comme ces sorciers dans Playwitch, ferme et bronzé, parce qu’on dirait qu’il a réussi à prendre un peu de soleil, dernièrement, vu son teint. C’est un crime que son corps ait été enfermé à Azkaban si longtemps. Quelqu’un va devoir s’expliquer au Ministère.

Je frissonne involontairement, couine, puis m’arque contre Severus. Oh Merlin, j’ai trois hommes tout à moi, encore une fois. C’est juste…

Il n’y a pas de mot pour ça. L’image la plus proche que je trouve maintenant c’est ‘paradis’.

Les pouces de Severus taquinent mes cuisses, ses doigts sont toujours dans mes replis, m’exposant toujours à Remus et au froid.

J’entends Remus inspirer profondément, je sens son souffle caresser ma peau brûlante. Merlin, il faut qu’il me touche encore. Je suis assise là, avec la présence délicieuse de la queue durcie de Severus contre mes reins, avec Severus qui me regarde comme si j’étais le premier repas aperçu en plusieurs semaines et avec Remus… Oh, bon sang ! Sa langue vient de refaire son truc magique, en passant sur mon clitoris… Maintenant il trace des cercles à mon entrée, ses grands yeux noisette me regardent, impatients…

« S’il te plaît » je chougne.

Mais ça ne le fait pas accélérer, il continue avec de longues léchouilles, vraiment délicieuses mais loin d’être suffisantes.

« Severus ? » je le supplie tout en gémissant.

Severus glousse derrière moi, et son rire résonne dans mon corps, son profond ton m’emplit de désir. Je peux sentir ses hanches se tendre doucement sous moi, sa queue glisse entre mes reins.

« S’il vous plaît ? » je retente. Il m’en faut plus. Ces taquineries ne suffisent pas. Me faites pas dire ce que j’ai pas dit, j’apprécie carrément, mais mon corps supplie pour plus.

« S’il vous plaît quoi ? » insiste Severus de sa voix rauque contre mon oreille, ses lèvres se déplaçant sur la peau nue de mon épaule.

« S’il te plaît… S’il te plaît, baise-moi.

-S’il te plaît baisez-moi qui ? » me presse Severus, son nez effleurant maintenant la peau sensible sous mon oreille.

« S’il vous plaît, baisez-moi, Monsieur.

-Ah, beaucoup mieux. Il vous en fallut, du temps, Miss Granger. Je vous pensais plus intelligente que ça » siffle-t-il. Je devrais me sentir insultée, je veux dire, personne –enfin, en dehors de lui- n’a jamais dit que j’étais stupide. Mais alors que ses mains reviennent en haut de mes cuisses, attrapent mes hanches et me soulèvent un tout petit peu, je n’ai pas grand-chose à faire de ses questions douteuses sur mon intelligence. Les mains de Remus sont remontées pour prendre le dessus sur celles de Severus, plongeant dans mes replis, les resserrant pour avoir un meilleur accès à mon clitoris.

La queue de Severus se glisse entre mes fesses, s’arrête un instant contre l’entrée arrière, puis s’arrête, comme pour essayer de décider quoi faire. Je tremble alors sa chair chaude se cale contre moi, et je peux sentir son cœur battre par l’extrémité humide de son sexe, qui se réverbère contre les nerfs encerclant mon anus. Puis, alors que je m’enlace moi-même pour qu’il s’enfonce, il me soulève un peu plus, son sexe descend un peu plus, et à la place, il plonge dans mon sexe, me remplissant rapidement, durement, en un mouvement accompagné d’un grognement, agrippant mes hanches pour m’attirer plus fermement contre lui.

Oh, Merlin.

Oh.

Oh, bon sang de Merlin.

Je me sens à nouveau si pleine, chaque terminaison nerveuse répond à son entrée abrupte. Et je me sens si proche, juste grâce à ça. Je sens chaque muscle en moi sur le point de convulser, mais je n’y suis pas tout à fait. Il ne faudrait pas grand-chose, vraiment pas grand-chose…

Mais Severus n’a pas encore bougé, il est juste assis là avec sa queue enfoncée en moi, immobile.

Et Remus s’est arrêté, mon clitoris entre ses lèvres, appuyant à peine sur ma peau, mais lui aussi est figé là.

« N’y pensez même pas, Miss Granger » m’informe Severus.

Mais je ne peux penser qu’à ça. Alors ils ne comptent rien faire…

« Non ! » aboie Severus, agrippant mes deux poignets alors que je tente de me soulager toute seule.

« S’il te plaît ! » je le supplie, mais il refuse de faire quoi que ce soit.

« Tu ne sembles toujours rien connaître de la patience » se moque Severus, ses bras croisés autour de moi, repliant les miens contre moi pour coincer mes mains contre mes côtes.

Merde, la pression contre mes seins est presque, mais pas vraiment assez suffisante. Je tente de serrer et desserrer mes muscles autour de la queue de Severus, et même si ça le fait merveilleusement gronder, ça m’aide vraiment pas. Je tente de remuer les hanches pour avoir assez de marge pour l’enfoncer en moi, mais Remus garde prise sur ma taille pour m’en empêcher.

« Merlin, Mione. » Je lève les yeux en entendant son profond soupir et découvre Sirius m’observant par-dessus l’épaule de Remus, les yeux mi clos.

« S’il te plaît ? » je lui murmure.

Il jette un œil à Severus, derrière moi, puis sourit largement. « Avec plaisir.

-Tu n’as pas intérêt, Black. Je t’interdis de la toucher ! » La voix de Severus est tendue, suffisamment flippante pour me donner envie de fuir. Même Sirius semble hésiter.

Puis il sourit à nouveau. « Je me fiche de ce que tu racontes, Snape. »

Et alors que je l’observe, je le vois ramener une main le long du dos de Remus, le long de sa colonne vertébrale.

Remus frissonne, sa bouche se déplace juste un peu, changeant donc la pression sur mon clitoris. Je sens mon corps réagir immédiatement, me renvoyant direct près du précipice.

« Oui » je gémis, ma tête retombant contre l’épaule de Severus.

La main de Sirius disparaît de mon champ de vision, et je ne sais pas ce qu’il fait à Remus. Ok, j’ai une idée générale, et Remus semble apprécier.

« Goûte-la, Remus » dit Sirius, son bras se tend à chacun de ses mouvements. « Donne ce qu’elle veut à Hermione, ce qu’elle mérite, et tu l’auras aussi. »

Remus gémit. Ses yeux s’écarquillent alors qu’il me regarde, puis son regard dérive sur Severus.

« Je te l’interdis. »

Mais Remus n’écoute pas, il ne semble pas le pouvoir. Avec une petite hésitation, comme s’il luttait intérieurement entre son propre plaisir et le mien, et écouter Severus, dont la langue glisse à nouveau sur moi. Il change de main, une joue avec moi, l’autre descend, et je sens Severus gronder, je sens la main de Remus effleurer légèrement mes cuisses alors qu’il caresse la base de la queue de Severus.

Et Severus bouge à nouveau, ses mains relâchent mes poignets, agrippent mes hanches et me soulèvent, me ramenant contre lui. Oh merlin oui !

« Je vais te tuer pour ça, Black » gémit Severus, mais il n’a pas l’air vraiment en colère. En fait, il a l’air de totalement adorer.

Et je suis au-delà de ça. Je peux sentir mes jambes se tendre, mes parois internes se refermer sur Severus, mes hanches rebondir, me pressant plus fermement contre la bouche de Remus.

Et je suis partie, je tremble autour de Severus, la bouche de Remus accélère, attire mon clitoris entre ses lèvres et agitant sa langue sur moi.

Severus murmure à nouveau mon nom contre ma nuque et embrasse ma peau, sa voix est distante, mais mon corps est totalement conscient de son contact.

Quand je reviens sur terre, Remus a ralenti le rythme, et calme doucement ma chair de ses doux mouvements. Severus fait de même, redresse ses hanches et me fait lentement redescendre. Maintenant, je peux apprécier ça, maintenant que mon corps est satisfait je suis plus que d’accord pour me rasseoir et profiter du rythme lent, de laisser Severus prendre le dessus et de juste plonger dans la sensation de son corps bougeant contre le mien, de ma chair qui convulse occasionnellement autour du sien…

« Hermione ? »

La bouche de Remus m’a quitté, et brise ma délicieuse paix.

« Ouais ?

-C’est ton tour. »

.

.

oOoOoOo

.

.

Note de fervesco: Mille mercis à ma merveilleuse et sexy beta, Warty, sans qui de nombreuses parties du corps féminin resteraient sans nom ;-)

.

Note de Nathéa : Bon Tonks est partie ouf, le retour de Sirius, un Severus de plus en plus possessif… J’aime bien ce chapitre !

.

Note de Sockscranberries : C’est encore bien chaud tout ça !! Merci Sirius d’avoir réagi au bon moment ! :-)

.

.

oOoOoOo

.

.

Oh, mon tour! On joue aux échecs! J’ai été distraite, mais on peut pas me le reprocher! (Ah tiens oui ! Les échecs ^^)

.

Peu importe. Je prends leur pion à la place. Je ne vais pas embêter Severus quand son corps délicieux m’enlace ainsi. (Ce serait un crime !)

.

« C’est l’heure de dormir, on dirait » dit Remus en caressant ses cheveux ébouriffés.

Tonks acquiesce d’un grognement. (Petite joueuse va ! allez hop va te coucher !)

.

« Tu sais » murmure Severus à mon oreille, ses doigts remontant dangereusement sur ma cuisse, « nous pourrions partir maintenant. Je pourrais te ramener jusqu’à… » (Raaaaaa, vas y Hermione pars avec lui !)

Mais je ne saurai jamais où Severus veut m’emmener, parce qu’au même instant, la porte d’entrée s’ouvre brusquement.

« Bordel de merde ! J’ai eu du bol d’arriver là en un morceau ! » (Tiens, qui voilà !)

.

Eh bien, totalement à poil, si on ne compte pas la dite jupe enroulée sur mes cuisses. (En même temps, il a déjà vu pire je pense)

.

Je jette un coup d’œil à Remus. Avec un peu de chance, c’est mon sauveur… Je veux pas partir, pas maintenant ! (Tsssss)

.

Ses paroles sont peut-être lâchées avec légèreté, mais il ne semble pas très content, en tout cas c’est ce que je comprends de la manière dont il a soudainement changé de place, le dos à présent tendu, ses mains écartées de mes cuisses et reposant sur le canapé. (Ouh l’est pas content, retour au vouvoiement et Miss Granger !)

.

« Je serai… Très heureux de vous faire plaisir, Hermione, tant que vous serez heureuse d’en faire de même pour moi… Plus tard. » Il y a une étincelle dans son regard qui m’attire et me fait peur à la fois. (Oh yeah ! J’aime ce Snape là !)

.

Le torse de Sirius est un sacré miracle, sérieusement. (On ne peut qu’imaginer !)

.

Je frissonne involontairement, couine, puis m’arque contre Severus. Oh Merlin, j’ai trois hommes tout à moi, encore une fois. C’est juste…(Le pied ? Ouais je me doute…)

GHL4 Mission: Get Hermione Laid 4-5
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
Super le retour de Sirus en force, et notre Sevy chéri qui fait trop son jaloux...c'est trop meugnionnnnnnnnnn lol
Répondre
A
Moui, si on veut ^^'
A
J'espère que Ghl finira sur une exclusivité entre sev et mione !!!!!!!
Répondre
A
Tu auras la réponse dans deux chapitres!
Z
Merci pour cette suite !
Répondre
A
Je t'en prie ^^ à bientôt!
S
Merci
Répondre
A
je t'en prie, à bientôt!
M
Enfin elle c'est tirée l'autre c'est drôle je reste plus à fond sur Severus est Hermione que avec Lupin ou même Sirius non franchement après c'est sympa. Merci pour cette nouvelle partie
Répondre
A
je t'en prie ^^ à bientôt!
A
En même temps le but de cette partie c'est de les laisser ensemble ^^