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La Métamorphose 41
Chapitre 41 ~ L’heure de la romance
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Alors que Severus attirait Hermione dans sa chambre, ses lèvres collées aux siennes, son esprit filait à toute allure.
Elle avait accepté de lui donner un mois d’essai en tant qu’amant. Il réalisa qu’il devait altérer son approche cynique du sexe s’il voulait la garder. Même s’il ne voyait pas de nécessité dans la romance, c’était le cas d’Hermione. Le Maître des Potions était assez adaptable… Il avait passé des années à jouer un rôle pour Voldemort, et il y eut des fois où, sous polynectar, il avait dû adopter les manières de la personne qu’il incarnait. Il devait être convaincant, et puisqu’il n’avait jamais été découvert, il avait visiblement la capacité de tenir un autre rôle.
Severus savait également qu’Hermione était bouillante de frustration, suffisamment pour enflammer une torche, après toutes ses tentatives infructueuses d’intimité. L’approche romantique n’était probablement pas nécessaire en cet instant. Elle était probablement prête à se foutre à poil et à lui sauter dessus. Aller lentement et doucement serait sûrement une vraie torture à ce niveau. Et ça le tentait pas mal. Elle voulait un traitement à la ‘Miles’, hein ? Alors c’est ce qu’elle allait avoir, jusqu’à ce que sa chatte danse le cha-cha, et qu’elle le supplie. Alors, il le lui donnerait. A répétition.
Hermione tourna instinctivement son corps vers le lit, complètement absorbée par le baiser avide du Maître des Potions, sa langue s’afférant paresseusement autour de la sienne, son corps rigide contre le sien. Alors Severus corrigea sa direction, la retournant pour qu’elle fasse dos à une zone libre du mur, retirant ses bras d’elle, reculant son corps et brisant le baiser. Il plaça une main de chaque côté d’elle, qui leva vers lui son regard enflammé.
« Que fais-tu? » demanda-t-elle comme enrouée, le désir rendant sa voix rauque.
« Je prends mon temps, Hermione. Je ne veux pas te ‘ravager’ » ajouta-t-il soyeusement, faisant référence à son commentaire précédent.
« Mais je veux être ravagée » dit-elle doucement, pressant son pelvis contre lui. Il la repoussa doucement d’une main contre le mur.
« Tu m’as déjà dit ce dont tu as envie, sorcière » rétorqua-t-il gentiment. Il embrassa son front. « De chastes baisers… Une lente montée. »
Les yeux d’Hermione s’entrouvrirent alors que Severus pressait ses lèvres sur son front.
« Tu veux de la tendresse » roucoula-t-il, embrassant une paupière, puis l’autre. Il baissa la main et caressa ses côtes, passant sur sa taille et sa hanche, au bas de sa cuisse, avant de remonter.
« Tu veux des caresses » expira-t-il, embrassant son nez puis ses joues en ramenant lentement sa seconde main en haut, et caressant à nouveau les côtes de la jeune femme. Il effleura un instant ses lèvres, embrassant à la place son menton alors qu’Hermione plissait la bouche, voulant le contact. Severus vint à son oreille et son souffle chaud caressa la ligne arrondie et délicate.
« Tu veux que je te dise que tu es belle » souffla-t-il. « Tu l’es. Tu veux que je te dise que tu me rends fou de désir. C’est le cas. »
Severus revint à la bouche d’Hermione, capturant ses lèvres des siennes, les suçant, tirant doucement sur elles comme pour les goûter. Il n’approfondit pas le baiser, mais les effleurait, taquin, Hermione faisant de son mieux pour qu’il fasse plus alors que ses mains caressaient lentement et rythmiquement ses côtes. Hermione voulait qu’il en vienne à des zones plus intimes et douloureuses de son corps, mais il ne le fit pas. Il continua à l’embrasser de la même manière, chaque union de leurs lèvres élevant plus haut la flamme de la sorcière jusqu’à ce qu’elle soit pratiquement frémissante devant lui.
« Severus » haleta-t-elle entre deux baisers.
« Oui, Hermione ? » répondit-il, capturant toujours ses lèvres de la même manière étourdissante.
« Fais quelque chose » siffla-t-elle.
Il s’écarta de sa bouche et baissa les yeux sur elle, retenant un sourire. Alors elle pensait savoir ce qu’elle voulait de lui.
« Je fais ce que tu m’as demandé, Hermione. Tu n’aimes pas ça, sorcière ? » demanda-t-il soyeusement, son regard sombre restant sur son visage tendu. Un lustre de transpiration le couvrait, et il embrassa à nouveau son front, goûtant du bout des lèvres le léger goût salé de sa sueur.
« Oui, j’aime ça, mais… Mais j’ai besoin de plus » expliqua-t-elle tout bas, à présent envieuse de son attaque fiévreuse.
En réponse, Severus fit lentement courir sa main sur un de ses seins et serra doucement sa rondeur. Hermione laissa échapper un gémissement très sexy qui fusa directement entre les cuisses du sorcier. Il émit un petit grognement en sentant son érection, mais garda le contrôle.
« Plus que ça ? » demanda-t-il.
« Oui » souffla-t-elle, l’observant au travers de ses cils.
Severus reprit avec ses mêmes baisers tentateurs, caressant cette fois les seins de la jeune femme au travers de son t-shirt, effleurant de ses pouces ses tétons jusqu’à ce qu’ils se resserrent en bourgeons tendus sous le tissu de coton blanc. Hermione faisait des bruits de chaton alors qu’il déplaçait sa bouche sur son visage, sa bouche et sa gorge. Il la rendait folle… Sans lui en donner assez. Hermione sortit sa langue et Severus rejeta sa tête en arrière, observant sa langue rose, incapable de cacher son sourire victorieux.
« Tu vas trop vite, sorcière » gronda-t-il.
« C’est toi qui traîne ! » se plaignit-elle, s’écartant du mur, enserrant sa taille entre ses bras pour l’attirer plus près d’elle.
« Oh Merlin » gémit-elle en sentant l’énorme érection contre son ventre, au travers de ses robes.
Elle se frotta contre lui, et Severus siffla, faisant de son mieux pour ne pas appuyer son pelvis contre son corps charnu et ondulant.
« Hermione, tu agis comme une petite excitée » lui dit-il, son visage se contractant légèrement alors qu’elle se frottait sans gêne contre lui. « Qu’est-ce que ‘Miles’ dirait de ton effronterie ? Où est la tendresse ? La gentillesse? Les préludes romantiques que tu voulais que nous pratiquions? »
Pendant un instant, Hermione voulut dire ‘Que Miles aille se faire foutre’ mais cela aurait renié tout ce qu’elle lui avait dit précédemment. Sans aucun doute, il prendrait avantage de la situation, si elle lui en donnait l’opportunité. C’était un Serpentard, de pied en cap.
« Je te veux plus comme toi-même » reprit-elle doucement, tentant de contourner la question ‘Miles’.
Hermione avait besoin du type ‘en chaleur, en fureur et soumettant’, maintenant. Le Severus qui l’avait accostée dans le couloir et dans le laboratoire, le Maître des Potions dont tous les pores dégoulinaient littéralement de sexualité.
« Non. Je dois m’entraîner à être gentil et soigneux » répliqua Severus, tentant de se défaire de ses bras. « M’entraîner aux baisers chastes et aux douces caresses. Je n’ai qu’un mois pour m’y faire, sorcière. »
Hermione émit un petit grondement frustré alors qu’il parvenait à briser sa prise sur lui, pour la maintenir à bout de bras, son regard noir étincelant d’un mélange de plaisir et de moquerie. Il la tourmentait volontairement. Il savait ce qu’elle ressentait. Sale con.
« Alors au moins virons un peu de vêtements. Je me sens si… Confinée » dit-elle, tentant toujours de se presser en avant.
Le sorcier l’observa, pensif, puis la relâcha et sortit sa baguette.
« Très bien » acquiesça Severus, la pointant sur elle. « Mais ce n’est que parce que tu insistes, sorcière. Je pense toujours que tu vas bien trop vite. »
Hermione lui jeta un regard noir, exaspérée. Il déformait ses paroles.
« Divesto » lança-t-il, retirant son t-shirt et son pantalon, la laissant dans son soutien-gorge et sa culotte de coton blanc. Puis il reporta sa baguette sur lui-même.
« Divesto » répéta-t-il. Ses robes, chaussures et chaussettes disparurent, le laissant dans sa chemise blanche entièrement boutonnée et son pantalon.
Les sourcils d’Hermione s’élevèrent tout d’abord, puis se froncèrent alors qu’elle observait le sorcier toujours très couvert.
« Bordel de merde, qu’est-ce que tu fous ? » lui demanda-t-elle furieuse.
Severus afficha un sourire moqueur.
« Je garde mes intentions… Honorables. Je serais chaste, même si tu ne l’es pas » répliqua-t-il.
Hermione le fixa un instant. Son pantalon était massivement tendu. Il la voulait maintenant… Elle le savait, mais il était volontairement obstiné et pas coopératif… Même s’il prétendait lui donner ce qu’elle lui avait demandé.
« Tu n’es pas censé être chaste. Tu vas me baiser, bordel de merde » lui cracha Hermione.
« Oui, en effet. Mais chastement » sourit-il.
Hermione prit une profonde inspiration puis bondit sur le Maître des Potions, le surprenant, et avec ses bras autour de sa taille, les ramena tous deux jusqu’à ce qu’il bute sur le bord du lit. Elle lui grimpa dessus et l’embrassa, glissant son corps contre le sien, avide.
Severus était allongé là, les bras levés dans l’air, sans toucher la sorcière alors qu’elle possédait sa bouche et bougeait contre lui. Bien sûr, il aimait ça. Aucune femme ne lui avait jamais fait ça. A tous les égards, Hermione l’avait attaqué et tentait maintenant de le forcer.
Severus découvrit qu’il aimait être forcé par une jolie sorcière en chaleur. Ses cheveux couvraient toute sa tête et il était envahi de jasmin, de douces lèvres et de langue. Soudainement, Hermione arrêta de l’embrasser et se redressa, une jambe de chaque côté de sa taille, pour commencer à déboutonner sa chemise. Severus laissa ses bras retomber sur le lit et leva les yeux sur la jeune femme, qui fixait intensément les boutons en les ouvrant l’un après l’autre.
« Ce n’est pas franchement romantique, Hermione… Me tacler comme un rugbyman, me pousser dans le lit, forcer tes baisers sur moi, et maintenant, me retirer ma chemise » lista-t-il tranquillement.
« Vêtements » souffla-t-elle.
« Quoi ? » répondit-il alors qu’Hermione s’abaissait. Elle était directement assise sur la bosse de son pantalon et il pouvait sentir la chaleur de son sexe au travers du tissu.
« Je retire tes vêtements » le corrigea-t-elle à voix basse, s’attaquant à ses manchettes.
Severus restait allongé là plutôt soumis alors qu’elle défaisait les poignets de sa chemise, ce qui était une autre nouveauté pour lui. Il n’avait jamais donné tant de pouvoir à une femme. Mais il trouvait cela amusant, et également excitant. Hermione était vraiment brûlante pour lui… Ou pour ce qu’il pouvait lui donner. Maintenant, Severus était conscient qu’elle était dans un tel état d’excitation que n’importe quel homme pouvant lui donner une expérience sexuelle satisfaisante aurait probablement reçu le même traitement. Severus devait changer cela. Il fallait qu’elle ait envie de lui, et de lui uniquement.
Il avait prévu d’enculer Hermione, mais changeait à présent d’avis, au cas où elle n’appréciait pas franchement. Lorsque que le mois se serait écoulé, et qu’il l’aurait…. Alors il pourrait se briser en elle. Soudainement, il haleta en sentant les petites mains chaudes d’Hermione parcourir lentement son torse pâle, glisser au bas de ses abdominaux tendus et s’arrêter en haut de son pantalon. Ses yeux étaient des flammes d’ambre liquide alors qu’elle fixait son corps pâle, fin et parcouru de veines.
« Je n’aurais jamais cru que tu ressemblais à ça sous tes robes » dit-elle, comme hypnotisée. « J’ai toujours cru que tu étais… Maigre et un peu mou… Tu sais… Que tu avais le corps d’un vieil homme. »
Severus se renfrogna.
« Je n’ai que la petite quarantaine, dix-huit ans de plus que toi, sorcière » contra-t-il. « Je ne m’approche pas du troisième âge. Même là, je ne pense pas devenir pantouflard. Je garde mon corps en forme. Je m’entraîne… Je cours… Je mange correctement. Un corps de vieil homme, c’est ça. »
Hermione l’observa.
« Tu ne peux pas me reprocher d’avoir pensé ça. Tu es toujours entièrement couvert, et tu rôdes sur Poudlard comme un vieux bougon, à froncer tout le temps les sourcils. Tu agis comme si tu étais centenaire, pas comme si tu avais quarante-trois ans » contra-t-elle.
‘Je ne baise pas comme un centenaire’ pensa-t-il, observant la jeune femme à peine vêtue. ‘Le corps d’un vieil homme, hein ? Très bien, sorcière.’
Hermione sentit un frémissement contre son sexe, et s’abaissa instinctivement contre lui. Severus faillit s’agripper à elle, mais, avec effort, se contrôla, ses bras toujours sur le lit, même si ses poings se resserrèrent instinctivement. Hermione continuait à le fixer de haut, se léchant inconsciemment les lèvres. Merlin, elle était totalement appétissante, en soutien-gorge et culotte, les tétons tendus contre le tissu, ses cheveux bouclés voletant follement autour de ses épaules.
« Tu comptes me regarder, ou me retirer ma chemise ? » demanda-t-il, tentant de cacher l’impatience de sa voix. « Je me sens abandonné. »
Il resta tranquille lorsqu’Hermione tira un bras de sa manche, puis l’autre, écartant totalement sa chemise, puis redescendant pour observer la fermeture éclair de son pantalon.
« C’est une sacré bosse, Severus » souffla-t-elle.
« Le mieux pour te baiser » souffla-t-il en réponse, sans pouvoir s’en empêcher.
« C’est pas une phrase très romantique » le taquina Hermione avant de s’attaquer à son pantalon. Severus observa ses petites mains l’abaisser puis ouvrir le pantalon. C’était assez érotique.
« C’est de ta faute si la romance s’est jetée par la fenêtre. Tu n’es pas grand-chose d’autre qu’une girouette, Hermione Granger. Tu dis quelque chose, puis le contraire » répliqua-t-il avec difficulté alors qu’Hermione se redressait pour attraper le bas des jambes de son pantalon et tirer violemment, tentant de le lui retirer.
Severus n’aidait pas, au contraire, tandis qu’Hermione tirait rudement le pantalon d’un côté à l’autre comme un chien massacrant un rat. Finalement, les jambes glissèrent au bas de ses hanches et elle retira le vêtement, haletant un peu de ses efforts, le regard noir de Severus dardait sur elle un éclat amusé. Maintenant, il ne portait qu’un boxer, et il était vraiment rempli. La manière dont elle agissait envers lui était très, très excitante. Il pouvait tout à fait s’imaginer jouer des jeux sexuels avec elle.
« Wow » dit-elle, grimpant à nouveau sur lui. Elle l’embrassa à nouveau avidement et Severus la laissa faire de lui ce qu’elle voulait, sans participer plus avant qu’à accepter son baiser. Finalement, elle se recula.
« Merde, Severus, je veux que tu fasses quelque chose, pas que tu joues les véracrasses » se plaignit Hermione.
« Les véracrasses n’ont pas de partie dure. Comme tu le sens clairement, moi, si » répliqua le sorcier en remontant ses hanches pour presser l’objet contre elle.
« Ta partie dure ne fait pas grand-chose » lâcha Hermione, agitée. Severus pouvait sentir la puissance de son excitation. Elle n’avait aucune idée de combien c’était difficile pour lui de se retenir.
« Qu’en est-il de la romance ? De la tendresse ? De la gentillesse ? De prendre du temps avec toi? Je dois travailler sur ces aspects de ma technique sexuelle si j’espère te garder, sorcière » dit-il, affichant un sourire en coin.
Soudainement, Hermione roula sur le lit, sur le dos, attirant Severus sur elle.
« J’ai décidé que tu pourrais travailler là-dessus plus tard » dit-elle, approchant son visage pour donner un nouveau baiser brûlant à Severus, ses mains glissant le long de son dos et de ses fesses, le tirant avec insistance vers lui.
Un petit grondement s’émit au fond de sa gorge devant les réactions de la jeune femme envers lui, alors qu’il s’écartait de son baiser. Sous le désir, il frotta sa queue contre elle, son regard noir l’incendiant. Elle grogna et le tira plus fort tandis que l’entre-jambe de sa culotte se détrempait de lubrification.
« Comme tu voudras, sorcière » ronronna-t-il.
Après tout, c’était exactement ce qu’il attendait d’entendre.
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Note de Ms-Figg : *secoue la tête* Severus est vraiment grave. Mais bon, encore une fois, Hermione aussi. S’il vous plaît, des reviews.
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Note de Sockscranberries : Le romantisme est mort pour cette fois ^^ Mais bon, il aura essayé non ? Bon ok, même moi je n’y crois pas :p
Je me suis bien marrée en lisant leurs répliques ^^ Je me jette sur le chapitre suivant sans plus attendre :D
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Aë : Ils sont graves, l’un comme l’autre ! M’enfffin.
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Note de Sevy4eveR : Quel enfoiré quand il veut… mais bon, il a su prouver à Hermione que toutes les conneries sur le romantisme qu’elle a racontées, ben… c’était que des conneries XD
C’était un chapitre vraiment drôle, ce Chaste Severus m’a fait bien rire sur ce coup-là ^^
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Severus savait également qu’Hermione était bouillante de frustration, suffisamment pour enflammer une torche, (Bon bah si un jour je perds mon briquet, j’sais qui il me faudra appeler XD) après toutes ses tentatives infructueuses d’intimité. (La faute à qui, on se le demande…)
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« Tu veux que je te dise que tu es belle » souffla-t-il. « Tu l’es. Tu veux que je te dise que tu me rends fou de désir. C’est le cas. » (Mon Dieu, cet homme ! <3)
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« C’est toi qui traîne ! » se plaignit-elle, s’écartant du mur, enserrant sa taille entre ses bras pour l’attirer plus près d’elle. (En même temps faudrait savoir ce que tu veux aussi)
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« Qu’est-ce que ‘Miles’ dirait de ton effronterie ? Où est la tendresse ? La gentillesse? Les préludes romantiques que tu voulais que nous pratiquions? » (En effet, on se l’demande XD)
Pendant un instant, Hermione voulut dire ‘Que Miles aille se faire foutre’ mais cela aurait renié tout ce qu’elle lui avait dit précédemment. (Ahaa ! Et maintenant elle regrette amèrement de ne pas avoir tourné 7 fois sa langue dans sa bouche… hum, je précise : la sienne de bouche, hein pas celle de Sev … XD) Sans aucun doute, il prendrait avantage de la situation, si elle lui en donnait l’opportunité. C’était un Serpentard, de pied en cap. (De toute façon, tu es piégée ma vieille)
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Le sorcier l’observa, pensif, puis la relâcha et sortit sa baguette. Aë : L’autre, bande de perverses XD (Pfff, pas drôle !) (Ben on en doutait pas tu sais XD) Aë : Pour l’effet de surprise, l’autre aurait été plus drôle XD
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Les sourcils d’Hermione s’élevèrent tout d’abord, puis se froncèrent alors qu’elle observait le sorcier toujours très couvert. (En effet)
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« Tu n’es pas censé être chaste. Tu vas me baiser, bordel de merde » lui cracha Hermione.
« Oui, en effet. Mais chastement » sourit-il. (Mdrr, c’est possible ça ? ^^)(Heu… et comment on fait ça ‘chastement’, hein ? J’aimerais bien savoir ^^)
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« Ce n’est pas franchement romantique, Hermione… Me tacler comme un rugbyman, me pousser dans le lit, forcer tes baisers sur moi, et maintenant, me retirer ma chemise » lista-t-il tranquillement. (Au diable le romantisme ! On aura tout le temps pour le romantisme plus tard ! ^^)
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Il avait prévu d’enculer Hermione, (Ok, là le romantisme est mort ^^) Aë : désolée, mais en vo c’était un terme insultant. C’est le mot sur lequel j’ai le plus hésité pour la vf dans le chapitre.
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« Je n’aurais jamais cru que tu ressemblais à ça sous tes robes » dit-elle, comme hypnotisée. « J’ai toujours cru que tu étais… Maigre et un peu mou… Tu sais… Que tu avais le corps d’un vieil homme. » (Sympa)
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« Tu ne peux pas me reprocher d’avoir pensé ça. Tu es toujours entièrement couvert, et tu rôdes sur Poudlard comme un vieux bougon, à froncer tout le temps les sourcils. Tu agis comme si tu étais centenaire, pas comme si tu avais quarante-trois ans » contra-t-elle. (Elle a pas tort pour le coup)
‘Je ne baise pas comme un centenaire’ (Ca c’est sûr ^^)
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« Tu comptes me regarder, ou me retirer ma chemise ? » demanda-t-il, tentant de cacher l’impatience de sa voix. « Je me sens abandonné. » (Moi je voudrais bien être « abandonnée » comme ça…)
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« Le mieux pour te baiser » souffla-t-il en réponse, sans pouvoir s’en empêcher. (Chassez le naturel…)
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« Ta partie dure ne fait pas grand-chose » (Ah ah !)
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Après tout, c’était exactement ce qu’il attendait d’entendre. (Il a encore eu ce qu’il voulait le bougre…)
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